Détendus, engagés et performants !
Vos collaborateurs sont en arrêt maladie, démissionnent, font régulièrement des erreurs, pratiquent la démission silencieuse, ou passent un temps considérable en distraction de fait – sur les réseaux sociaux par exemple … Ils sont épuisés.
Plaidant pour une semaine de travail de quatre jours, Juliet Schor raconte ce modèle pour l’avenir du travail, qui pourrait relever des défis majeurs – tels que l’épuisement professionnel et l’éco-anxiété.
Car elle contribue effectivement à faire baisser le niveau de stress : la troisième journée de repos est réellement consacrée au ressourcement, aux relations et à une gestion apaisée du quotidien. Les effets sont rapidement visibles sur la santé physique et mentale de chacun et donc sur l’absentéisme, le présentéisme ou les défauts de qualité.
Mais des gains de productivité inattendus participent aussi à la baisse du niveau de stress : chacun trouve, par soi-même, des façons d’améliorer son efficience sans que sa qualité de vie au travail ne semble en pâtir. Personne ne se plaint des réunions plus courtes et moins nombreuses !
Certes, cette option n’est pas envisageable dans tous les secteurs d’activité, mais la transformation numérique et le déploiement de l’IA pourraient contribuer à une réflexion de fond sur la durée optimale du temps de travail.
© Copyright Business Digest - Tout droit réservé