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Interview

Oyst, une start-up qui dit non au stress

Le stress est bien présent au sein des start-up, confirme Quentin Vigneau, cofondateur de Oyst, entreprise en plein essor spécialisée dans le e-commerce. À la tête de cette start-up ayant connu une croissance fulgurante en deux ans, il revient sur son expérience de la gestion de la pression.

[highlight_box title= »Biographie » text= « Quentin Vigneau, Cofondateur de Oyst, France (janvier 2018). Diplomé d’HEC Paris, il est titulaire d’un Master « Management et Nouvelles Technologies ». Il a fondé Oyst en janvier 2016. » img= »https://business-digest.eu:443/wp-content/uploads/2018/03/BD283Vigneau-1.jpg »]

Quentin Vigneau a cofondé Oyst en janvier 2016 avec l’ambition de révolutionner le e-commerce. Pour des paiements en ligne à la fois plus rapides et plus sécurisés, sa start-up a développé un bouton permettant d’effectuer des achats en 1 clic, depuis n’importe quel site Internet. D’une équipe initiale de 3 personnes, Oyst est passée en deux ans à plus de 70 collaborateurs, avec une base d’utilisateurs multipliée par dix tous les quatre mois. Dans les premiers temps, « le stress était partout. Les start-up reposent sur une idée un peu folle : deux ou trois personnes dans un garage pourraient faire mieux qu’une grande entreprise. Pour les deux ou trois personnes en question, cela implique énormément de travail mais surtout de savoir fixer des limites et gérer son stress, sinon c’est le burn-out assuré. » À l’« école du stress », au cours de ces deux dernières années, Quentin Vigneau a appris l’importance de savoir gérer la pression, à la fois pour sa propre performance et pour celles de ses équipes.

 

Extrait de Business Digest N°283, février 2018

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Caroline Schuurman
Publié par Caroline Schuurman