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Pépite

Le bonheur de la procrastination

La procrastination est assimilée à une forme de paresse. Or elle n’a pas que des inconvénients … Du moins, la procrastination active, celle qui consiste à réfléchir et à prendre du recul. La procrastination passive, elle, est plutôt synonyme de stress et d’échec.

Repousser l’action, procrastiner de façon active a du bon si vous en profitez pour : 

  • Réfléchir à ce qui compte vraiment, établir des priorités et faire du tri. 
  • Évaluer si telle action relève vraiment de vos compétences et de votre périmètre-  i.e. n’acceptez pas n’importe quoi. 
  • Garder votre sang froid et limiter le stress en évitant de vous jeter à tout prix dans l’action. 
  • Réaliser une action simple et rapide qui vous aidera à entreprendre une tâche plus complexe. 
  • Faire travailler votre subconscient sur la future tâche et innover. 

En revanche, si procrastiner équivaut à ne rien faire du tout sans l’avoir voulu, faites-vous violence au risque de : 

  • Générer un niveau de stress et d’anxiété élevé, susceptible de conduire à de médiocres résultats et à des soucis de santé. 
  • Favoriser des comportements d’auto-sabotage. 
  • Finalement passer à l’action par obligation, sans vous assurer de la pertinence de l’action. 
  • Créer du ressentiment chez vos collègues qui pâtissent de votre retard ou de missions bâclées.  

Prenez soin d’évaluer les conséquences négatives à moyen terme de votre procrastination au-delà des bénéfices que vous en tirez à court terme. 

Pour aller plus loin

« 10 good and 10 bad things about procrastination »

Suzanne Kane (18 mars 2018).

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Florence Meyer
Publié par Florence Meyer
Executive coach, experte en conduite du changement et auteur. Constamment en veille des dernières tendances en management et leadership.