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Un leader agile gère la complexité

Vrai
Faux
Exact !
Ah non, celui qui s’acharne à vouloir maîtriser la complexité par la gestion va finir en burnout s’il n’y prend garde. L’agitation et l’incertitude qui pèsent sur le business ne vous permettent plus de prévoir parfaitement les conséquences de vos décisions. C’est pourquoi il vous est difficile de donner une orientation claire et durable à vos équipes. Pouvez-vous faire autrement ? Non, mais plutôt que vouloir maîtriser la complexité, cherchez plutôt à surfer en son sein. Le leader agile n’est pas un ovni ! Il a cette capacité à favoriser l’expression de points de vue divers pour ne pas rater d’opportunités, l’écoute active pour engager ses équipes, l’ouverture sur son environnement afin de favoriser les initiatives gagnant-gagnant pour l’ensemble de ses parties prenantes.






Inexact !
Ah non, celui qui s’acharne à vouloir maîtriser la complexité par la gestion va finir en burnout s’il n’y prend garde. L’agitation et l’incertitude qui pèsent sur le business ne vous permettent plus de prévoir parfaitement les conséquences de vos décisions. C’est pourquoi il vous est difficile de donner une orientation claire et durable à vos équipes. Pouvez-vous faire autrement ? Non, mais plutôt que vouloir maîtriser la complexité, cherchez plutôt à surfer en son sein. Le leader agile n’est pas un ovni ! Il a cette capacité à favoriser l’expression de points de vue divers pour ne pas rater d’opportunités, l’écoute active pour engager ses équipes, l’ouverture sur son environnement afin de favoriser les initiatives gagnant-gagnant pour l’ensemble de ses parties prenantes.






Devoir s’adapter c’est déjà avoir perdu

Vrai
Faux
Exact !
Ben oui ! Pourquoi parler d’« adaptation » au changement puisque par définition, il n’y a rien de statique, de tangible, de pérenne auquel s’adapter ? S’adapter au changement, c’est « courir derrière », en clair, c’est vraisemblablement courir après… votre perte. Votre responsabilité est donc au quotidien, de réinventer votre management, pour commencer. La mission fondamentale et durable d’un leader agile n’est pas de s’adapter, mais d’innover, d’inventer de nouvelles façons de faire, de mettre en place une culture d’innovation constante.




Inexact !
Ben oui ! Pourquoi parler d’« adaptation » au changement puisque par définition, il n’y a rien de statique, de tangible, de pérenne auquel s’adapter ? S’adapter au changement, c’est « courir derrière », en clair, c’est vraisemblablement courir après… votre perte. Votre responsabilité est donc au quotidien, de réinventer votre management, pour commencer. La mission fondamentale et durable d’un leader agile n’est pas de s’adapter, mais d’innover, d’inventer de nouvelles façons de faire, de mettre en place une culture d’innovation constante.




Un leader agile simplifie ce qui paraît compliqué

Vrai
Faux
Exact !
Oui, il a cette capacité à simplifier des choses qui sont peut-être (ou très certainement) complexes, mais qui ne sont compliquées qu’en apparence. Votre focalisation sur les résultats et votre habileté à communiquer cela à vos équipes sont les deux uniques points sur lesquels concentrer vos efforts. Et la meilleure manière de le faire est de travailler sur les objectifs. Il vous appartient de rendre simple et facile, pour votre équipe, la compréhension de leur mission ainsi que leur rôle dans sa réalisation. Trois règles à respecter :

1. fixez des objectifs concis sur lesquels vous communiquez souvent et par différents moyens ;
2. concentrez votre équipe sur un minimum de buts, des progrès réalisés pour l’accomplissement des objectifs ;
3. suivez les progrès réalisés et impliquez les membres de l’équipe dans le suivi des objectifs.




Inexact !
Oui, il a cette capacité à simplifier des choses qui sont peut-être (ou très certainement) complexes, mais qui ne sont compliquées qu’en apparence. Votre focalisation sur les résultats et votre habileté à communiquer cela à vos équipes sont les deux uniques points sur lesquels concentrer vos efforts. Et la meilleure manière de le faire est de travailler sur les objectifs. Il vous appartient de rendre simple et facile, pour votre équipe, la compréhension de leur mission ainsi que leur rôle dans sa réalisation. Trois règles à respecter :

1. fixez des objectifs concis sur lesquels vous communiquez souvent et par différents moyens ;
2. concentrez votre équipe sur un minimum de buts, des progrès réalisés pour l’accomplissement des objectifs ;
3. suivez les progrès réalisés et impliquez les membres de l’équipe dans le suivi des objectifs.




Un leader agile est multi-tâche

Vrai
Faux
Exact !
Rien n’est moins performant qu’un leader qui saute partout, se mêlant de tout et listant les tâches de chaque équipe en fonction des buts qui lui sont assignés. L’éparpillement est l’ennemi du management efficace et cela malgré ce que croient bon nombre de managers. Vous n’êtes pas là pour faire, vous êtes là pour que tout soit fait. Le but d’un leader agile (et manager compétent) n’étant pas de remplacer les forces de l’ordre, il vous appartient de responsabiliser vos équipes et mettre dans leurs mains les conséquences de leurs décisions.


Inexact !
Rien n’est moins performant qu’un leader qui saute partout, se mêlant de tout et listant les tâches de chaque équipe en fonction des buts qui lui sont assignés. L’éparpillement est l’ennemi du management efficace et cela malgré ce que croient bon nombre de managers. Vous n’êtes pas là pour faire, vous êtes là pour que tout soit fait. Le but d’un leader agile (et manager compétent) n’étant pas de remplacer les forces de l’ordre, il vous appartient de responsabiliser vos équipes et mettre dans leurs mains les conséquences de leurs décisions.


Un leader agile a surtout une intelligence business

Vrai
Faux
Exact !
C’est le mot « surtout » qui est dérangeant ! Un leader agile est un visionnaire qui sait saisir les opportunités et prendre des décisions audacieuses. Est-ce suffisant ? Non, à l’intelligence « business » manquerait alors l’« intelligence fonctionnelle », celle qui assure management des troupes et exécution. Le risque serait de vouloir avancer coûte que coûte, quitte à laisser l’éthique au vestiaire ou à commettre des imprudences. Et plus vous gagnez en compétence dans ce modèle d’intelligence, plus vous renforcez votre filtre perceptuel, réduisant d’autant votre champ d’horizon et votre capacité de réflexion et d’action. Notre environnement de plus en plus incertain a besoin de dirigeants à la fois visionnaires et experts, pour appréhender la réalité sans filtre – en d’autres termes, qui font preuve de sagesse pratique.

Source : From Smart to Wise de Navi Radjou et Prasad Kaipa (Jossey-Bass 2013).







Inexact !
C’est le mot « surtout » qui est dérangeant ! Un leader agile est un visionnaire qui sait saisir les opportunités et prendre des décisions audacieuses. Est-ce suffisant ? Non, à l’intelligence « business » manquerait alors l’« intelligence fonctionnelle », celle qui assure management des troupes et exécution. Le risque serait de vouloir avancer coûte que coûte, quitte à laisser l’éthique au vestiaire ou à commettre des imprudences. Et plus vous gagnez en compétence dans ce modèle d’intelligence, plus vous renforcez votre filtre perceptuel, réduisant d’autant votre champ d’horizon et votre capacité de réflexion et d’action. Notre environnement de plus en plus incertain a besoin de dirigeants à la fois visionnaires et experts, pour appréhender la réalité sans filtre – en d’autres termes, qui font preuve de sagesse pratique.

Source : From Smart to Wise de Navi Radjou et Prasad Kaipa (Jossey-Bass 2013).







Un leader agile se confronte à la sagesse des foules

Vrai
Faux
Exact !
Oui bien sûr, il regarde tout d’abord le monde à travers son propre regard et celui des autres : il est ainsi à même d’écouter et comprendre une multitude de points de vue et d’idées. Pourquoi faire ? Si le leader « fonctionnel » évite toute prise de risque pour ne pas se retrouver dans une situation qu’il ne maîtrise pas, le leader « business » risque de s’enflammer pour l’idée qui lui semble la plus brillante et la plus prometteuse sans se demander si l’éthique n’est pas laissée au bord de la route. La voie intermédiaire, celle de l’agilité conjugue prudence, intuition et approche holistique (tenant compte à la fois du contexte et de l’expérience). Le leader agile n’hésite pas pour cela à faire appel à la sagesse des autres, un prérequis pour poursuivre plusieurs avantages concurrentiels transitoires simultanément.

Source : From Smart to Wise de Navi Radjou et Prasad Kaipa (Jossey-Bass 2013).
Inexact !
Oui bien sûr, il regarde tout d’abord le monde à travers son propre regard et celui des autres : il est ainsi à même d’écouter et comprendre une multitude de points de vue et d’idées. Pourquoi faire ? Si le leader « fonctionnel » évite toute prise de risque pour ne pas se retrouver dans une situation qu’il ne maîtrise pas, le leader « business » risque de s’enflammer pour l’idée qui lui semble la plus brillante et la plus prometteuse sans se demander si l’éthique n’est pas laissée au bord de la route. La voie intermédiaire, celle de l’agilité conjugue prudence, intuition et approche holistique (tenant compte à la fois du contexte et de l’expérience). Le leader agile n’hésite pas pour cela à faire appel à la sagesse des autres, un prérequis pour poursuivre plusieurs avantages concurrentiels transitoires simultanément.

Source : From Smart to Wise de Navi Radjou et Prasad Kaipa (Jossey-Bass 2013).

Le leader agile est seul

Vrai
Faux
Exact !
Vous avez gravi les échelons grâce à votre volonté et à votre capacité à assumer les problèmes et à trouver des solutions. Certes, et votre boss et vos collaborateurs souhaitent que cela continue. Est-ce viable dans le monde aujourd’hui ? Non, notent les consultants du BCG, vous ne pourrez pas trouver seul les meilleures solutions aux problèmes de votre organisation. Par ailleurs, vous ne savez pas tout. Pensez à déléguer certaines difficultés à vos équipes en leur assurant l’autonomie nécessaire pour ce faire. Si cette forme de délégation permet d’introduire plus d’agilité dans les rouages décisionnels, elle est aussi pour vos collaborateurs une opportunité de s’engager davantage… ce qui exige de leur faire confiance pour ne pas céder aux tentations du micro-management !

Source : « Winning Practices of adaptative Leadership » (BCG, avril 2012).



Inexact !
Vous avez gravi les échelons grâce à votre volonté et à votre capacité à assumer les problèmes et à trouver des solutions. Certes, et votre boss et vos collaborateurs souhaitent que cela continue. Est-ce viable dans le monde aujourd’hui ? Non, notent les consultants du BCG, vous ne pourrez pas trouver seul les meilleures solutions aux problèmes de votre organisation. Par ailleurs, vous ne savez pas tout. Pensez à déléguer certaines difficultés à vos équipes en leur assurant l’autonomie nécessaire pour ce faire. Si cette forme de délégation permet d’introduire plus d’agilité dans les rouages décisionnels, elle est aussi pour vos collaborateurs une opportunité de s’engager davantage… ce qui exige de leur faire confiance pour ne pas céder aux tentations du micro-management !

Source : « Winning Practices of adaptative Leadership » (BCG, avril 2012).



Le leader agile augmente les performances financières

Vrai
Faux
Exact !
Oui ! Une étude du BCG Strategy Institute réalisée auprès de 2 217 entreprises américaines cotées en bourse révèle une corrélation directe entre le degré d’agilité de ses dirigeants et ses performances financières. Pour en savoir plus : http://www.bcg.com/documents/file102012.pdf

Source : « Winning Practices of adaptative Leadership » (BCG, avril 2012).





Inexact !
Oui ! Une étude du BCG Strategy Institute réalisée auprès de 2 217 entreprises américaines cotées en bourse révèle une corrélation directe entre le degré d’agilité de ses dirigeants et ses performances financières. Pour en savoir plus : http://www.bcg.com/documents/file102012.pdf

Source : « Winning Practices of adaptative Leadership » (BCG, avril 2012).





Vos résultats

/ 8

Résultat : x/8

 

De 0 à 3 : ouille… !

Ah, vous pensez que le leader est celui qui sait. Vous vous êtes hissé à votre poste par la force de votre volonté et votre capacité à avoir des idées et trouver des solutions à tout problème rencontré par votre équipe ou votre activité. Vous êtes en mode « réaction » par rapport à vos contraintes ? Vous pensez que les plus forts n’ont pas besoin de demander d’aide ? Ouille ouille !

 

De 4 à 5 : on doute !

On a des doutes ? Vous avez constaté que les recettes d’hier (le leader sait tout) ne fonctionnent plus aujourd’hui, compte tenu de la rapidité d’occurrence des embêtements et contraintes et changements de toute sorte. Vous avez aussi constaté que vos équipes sont sources d’idées, dans le fond porteuses de valeur ajoutée… et de sérénité pour ce qui vous concerne ? Faites-leur confiance…

 

De 6 à 8 : on bouge !

Chapeau, vous êtes sur la voie du modèle de leadership « I don’t know ». Votre agilité ne vous permet pas à vous seul de faire face à toutes les situations, et laisser pourrir celles dont vous n’avez pas le temps de vous occuper n’est pas la bonne solution. Le partage avec vos équipes, en particulier de situations pour lesquelles votre expertise ne sert plus, est en train de passer d’un outil de survie personnelle à votre comportement principal. Vous avez raison !