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8 questions sans filtre pour tester votre posture réelle face à la transition. Derrière les bonnes intentions, des contradictions tenaces. Êtes-vous stratège ou suiveur ? Transformateur ou décorateur ? Ce test révèle si vous êtes prêt à trancher dans le vif… ou à rester dans le confort.
Synthèse croisée de « The Boardroom Mindset Blocking Climate Action » de Jaap Winter, INSEAD Knowledge mars 2025 ; « The Dragons of Inaction: Psychological Barriers That Limit Climate Change Mitigation and Adaptation » par Robert Gifford (American Psychologist 2011)
Lors d’un séminaire stratégique, un dirigeant propose de doubler le budget RSE. Vous dites :
Réponse A : « Ça montre qu’on prend enfin le sujet au sérieux. »
Réponse B : « C’est bien, mais sans revoir notre modèle, ça reste cosmétique. »
Réponse C : « Parfait, on pourra le valoriser dans notre prochain rapport intégré. »
Exact !
Réponse B.
Doubler le budget RSE sans repenser le cœur du business, c’est comme repeindre une façade qui s’écroule. L’argent ne compense pas l’absence de transformation structurelle. La question n’est pas combien vous dépensez, mais ce que vous êtes prêts à remettre en cause.
La cohérence stratégique se joue dans les arbitrages, pas dans les budgets satellites. Si votre cœur business reste intact, votre RSE est une distraction.
Doubler le budget RSE sans repenser le cœur du business, c’est comme repeindre une façade qui s’écroule. L’argent ne compense pas l’absence de transformation structurelle. La question n’est pas combien vous dépensez, mais ce que vous êtes prêts à remettre en cause.
La cohérence stratégique se joue dans les arbitrages, pas dans les budgets satellites. Si votre cœur business reste intact, votre RSE est une distraction.
Inexact !
Réponse B.
Doubler le budget RSE sans repenser le cœur du business, c’est comme repeindre une façade qui s’écroule. L’argent ne compense pas l’absence de transformation structurelle. La question n’est pas combien vous dépensez, mais ce que vous êtes prêts à remettre en cause.
La cohérence stratégique se joue dans les arbitrages, pas dans les budgets satellites. Si votre cœur business reste intact, votre RSE est une distraction.
Doubler le budget RSE sans repenser le cœur du business, c’est comme repeindre une façade qui s’écroule. L’argent ne compense pas l’absence de transformation structurelle. La question n’est pas combien vous dépensez, mais ce que vous êtes prêts à remettre en cause.
La cohérence stratégique se joue dans les arbitrages, pas dans les budgets satellites. Si votre cœur business reste intact, votre RSE est une distraction.
Vous venez de publier votre bilan carbone. Quelle est la meilleure chose à faire ?
Réponse A : Communiquer sur vos résultats avec un label.
Réponse B : Créer un plan d’action priorisé.
Réponse C : Comparer vos chiffres à ceux de vos concurrents.
Exact !
Réponse B.
Mesurer, c’est bien. Mais agir, c’est urgent. Publier sans agir, c’est du greenwashing technique.
La mesure ne vaut que si elle déclenche des décisions réelles, structurantes, irréversibles.
Il faut trier, hiérarchiser, couper, investir — pas seulement afficher. Le carbone, ça ne s’éteint pas avec des slides, mais avec des choix.
Mesurer, c’est bien. Mais agir, c’est urgent. Publier sans agir, c’est du greenwashing technique.
La mesure ne vaut que si elle déclenche des décisions réelles, structurantes, irréversibles.
Il faut trier, hiérarchiser, couper, investir — pas seulement afficher. Le carbone, ça ne s’éteint pas avec des slides, mais avec des choix.
Inexact !
Réponse B.
Mesurer, c’est bien. Mais agir, c’est urgent. Publier sans agir, c’est du greenwashing technique.
La mesure ne vaut que si elle déclenche des décisions réelles, structurantes, irréversibles.
Il faut trier, hiérarchiser, couper, investir — pas seulement afficher. Le carbone, ça ne s’éteint pas avec des slides, mais avec des choix.
Mesurer, c’est bien. Mais agir, c’est urgent. Publier sans agir, c’est du greenwashing technique.
La mesure ne vaut que si elle déclenche des décisions réelles, structurantes, irréversibles.
Il faut trier, hiérarchiser, couper, investir — pas seulement afficher. Le carbone, ça ne s’éteint pas avec des slides, mais avec des choix.
Un actionnaire vous dit : « Ce plan climat va plomber nos marges. » Vous répondez :
Réponse A : « Nous allons veiller à ce qu’il reste ROIste. »
Réponse B : « Il faut qu’on explique mieux notre stratégie bas-carbone. »
Réponse C : « Et si on parlait plutôt de notre exposition aux actifs échoués ? »
Exact !
Réponse C.
Inverser la pression, voilà le réflexe à adopter. Le bon angle n’est pas de défendre le plan climat, c’est de retourner la perspective. Ce qui menace la rentabilité, ce n’est pas l’action, c’est l’inaction face à un monde qui bascule ; ce ne sont pas vos ambitions climatiques — c’est de rester coincés dans un modèle bientôt obsolète. L’inaction crée de la dette cachée, du risque légal, de l’exposition réputationnelle.
Parlez transformation, pas compromis tactique.
Inverser la pression, voilà le réflexe à adopter. Le bon angle n’est pas de défendre le plan climat, c’est de retourner la perspective. Ce qui menace la rentabilité, ce n’est pas l’action, c’est l’inaction face à un monde qui bascule ; ce ne sont pas vos ambitions climatiques — c’est de rester coincés dans un modèle bientôt obsolète. L’inaction crée de la dette cachée, du risque légal, de l’exposition réputationnelle.
Parlez transformation, pas compromis tactique.
Inexact !
Réponse C.
Inverser la pression, voilà le réflexe à adopter. Le bon angle n’est pas de défendre le plan climat, c’est de retourner la perspective. Ce qui menace la rentabilité, ce n’est pas l’action, c’est l’inaction face à un monde qui bascule ; ce ne sont pas vos ambitions climatiques — c’est de rester coincés dans un modèle bientôt obsolète. L’inaction crée de la dette cachée, du risque légal, de l’exposition réputationnelle.
Parlez transformation, pas compromis tactique.
Inverser la pression, voilà le réflexe à adopter. Le bon angle n’est pas de défendre le plan climat, c’est de retourner la perspective. Ce qui menace la rentabilité, ce n’est pas l’action, c’est l’inaction face à un monde qui bascule ; ce ne sont pas vos ambitions climatiques — c’est de rester coincés dans un modèle bientôt obsolète. L’inaction crée de la dette cachée, du risque légal, de l’exposition réputationnelle.
Parlez transformation, pas compromis tactique.
Vous lancez un programme d’innovation climatique en interne. Quelle posture adoptez-vous ?
Réponse A : « On sélectionnera les idées les plus réalistes. »
Réponse B : « On teste tout, même les idées farfelues. »
Réponse C : « On commence par ce qui est compatible avec nos process. »
Exact !
Réponse B.
Si vos idées passent toutes les filtres dès le départ, c’est qu’elles ne changent rien. L’innovation réelle commence là où le cadre actuel est dépassé, là où vous êtes mal à l’aise, hors cadre, hors norme. Si vous ne laissez pas place à ce qui est perçu comme non-réalisable vous resterez enfermés dans l’optimisation. Vous voulez des ruptures, pas des extensions de l’existant. Testez, heurtez, surprenez : c’est là que le futur surgit.
Si vos idées passent toutes les filtres dès le départ, c’est qu’elles ne changent rien. L’innovation réelle commence là où le cadre actuel est dépassé, là où vous êtes mal à l’aise, hors cadre, hors norme. Si vous ne laissez pas place à ce qui est perçu comme non-réalisable vous resterez enfermés dans l’optimisation. Vous voulez des ruptures, pas des extensions de l’existant. Testez, heurtez, surprenez : c’est là que le futur surgit.
Inexact !
Réponse B.
Si vos idées passent toutes les filtres dès le départ, c’est qu’elles ne changent rien. L’innovation réelle commence là où le cadre actuel est dépassé, là où vous êtes mal à l’aise, hors cadre, hors norme. Si vous ne laissez pas place à ce qui est perçu comme non-réalisable vous resterez enfermés dans l’optimisation. Vous voulez des ruptures, pas des extensions de l’existant. Testez, heurtez, surprenez : c’est là que le futur surgit.
Si vos idées passent toutes les filtres dès le départ, c’est qu’elles ne changent rien. L’innovation réelle commence là où le cadre actuel est dépassé, là où vous êtes mal à l’aise, hors cadre, hors norme. Si vous ne laissez pas place à ce qui est perçu comme non-réalisable vous resterez enfermés dans l’optimisation. Vous voulez des ruptures, pas des extensions de l’existant. Testez, heurtez, surprenez : c’est là que le futur surgit.
Vous devez former votre comité à la transition. Vous choisissez :
Réponse A : Un cabinet reconnu pour ses benchmarks ESG.
Réponse B : Un climatologue et un spécialiste des limites planétaires.
Réponse C : Un coach en leadership de crise.
Exact !
Réponse C.
Le blocage n’est pas cognitif, il est émotionnel, culturel, statutaire. Le frein n’est pas la connaissance, c’est le déni, l’orgueil, la peur de changer. Ce qu’il faut, c’est un électrochoc de posture, pas un inventaire de KPI. Vous avez besoin de gens qui savent faire bouger des egos, des peurs, des privilèges. Ce n’est pas une leçon, c’est une bascule mentale qu’il faut provoquer. Changez les postures, le reste suivra.
Le blocage n’est pas cognitif, il est émotionnel, culturel, statutaire. Le frein n’est pas la connaissance, c’est le déni, l’orgueil, la peur de changer. Ce qu’il faut, c’est un électrochoc de posture, pas un inventaire de KPI. Vous avez besoin de gens qui savent faire bouger des egos, des peurs, des privilèges. Ce n’est pas une leçon, c’est une bascule mentale qu’il faut provoquer. Changez les postures, le reste suivra.
Inexact !
Réponse C.
Le blocage n’est pas cognitif, il est émotionnel, culturel, statutaire. Le frein n’est pas la connaissance, c’est le déni, l’orgueil, la peur de changer. Ce qu’il faut, c’est un électrochoc de posture, pas un inventaire de KPI. Vous avez besoin de gens qui savent faire bouger des egos, des peurs, des privilèges. Ce n’est pas une leçon, c’est une bascule mentale qu’il faut provoquer. Changez les postures, le reste suivra.
Le blocage n’est pas cognitif, il est émotionnel, culturel, statutaire. Le frein n’est pas la connaissance, c’est le déni, l’orgueil, la peur de changer. Ce qu’il faut, c’est un électrochoc de posture, pas un inventaire de KPI. Vous avez besoin de gens qui savent faire bouger des egos, des peurs, des privilèges. Ce n’est pas une leçon, c’est une bascule mentale qu’il faut provoquer. Changez les postures, le reste suivra.
Une équipe propose d’investir dans un projet bas-carbone, peu rentable à court terme. Vous :
Réponse A : Demandez à modéliser les externalités positives.
Réponse B : Acceptez, mais le financez hors budget opérationnel.
Réponse C : L’intégrez au cœur de la stratégie, comme un pari d’avenir.
Exact !
Réponse A.
Vous devez parler la langue du système pour le faire évoluer de l’intérieur. C’est souvent la seule manière de « faire passer » un projet stratégique dans une logique économique classique. Tant que le ROI se calcule à 18 mois, il faut élargir le périmètre du « rendement ». L’objectif : internaliser ce qui est encore perçu comme « bonus ». Intégrer les coûts cachés, les risques systémiques, les bénéfices non monétaires est un acte politique. C’est ainsi qu’on change la norme de décision.
Vous devez parler la langue du système pour le faire évoluer de l’intérieur. C’est souvent la seule manière de « faire passer » un projet stratégique dans une logique économique classique. Tant que le ROI se calcule à 18 mois, il faut élargir le périmètre du « rendement ». L’objectif : internaliser ce qui est encore perçu comme « bonus ». Intégrer les coûts cachés, les risques systémiques, les bénéfices non monétaires est un acte politique. C’est ainsi qu’on change la norme de décision.
Inexact !
Réponse A.
Vous devez parler la langue du système pour le faire évoluer de l’intérieur. C’est souvent la seule manière de « faire passer » un projet stratégique dans une logique économique classique. Tant que le ROI se calcule à 18 mois, il faut élargir le périmètre du « rendement ». L’objectif : internaliser ce qui est encore perçu comme « bonus ». Intégrer les coûts cachés, les risques systémiques, les bénéfices non monétaires est un acte politique. C’est ainsi qu’on change la norme de décision.
Vous devez parler la langue du système pour le faire évoluer de l’intérieur. C’est souvent la seule manière de « faire passer » un projet stratégique dans une logique économique classique. Tant que le ROI se calcule à 18 mois, il faut élargir le périmètre du « rendement ». L’objectif : internaliser ce qui est encore perçu comme « bonus ». Intégrer les coûts cachés, les risques systémiques, les bénéfices non monétaires est un acte politique. C’est ainsi qu’on change la norme de décision.
Le plan climat que vous avez lancé est globalement bien accueilli. Quelle est votre réaction ?
Réponse A: « Parfait, on tient un bon cap. »
Réponse B : « Si personne ne grince, c’est qu’on n’est pas encore assez ambitieux. »
Réponse C: « Assurons la stabilité avant de pousser plus loin. »
Exact !
Réponse B.
Une vraie transformation fait des vagues. Le consensus est rarement un bon signe. Si tout le monde applaudit, c’est que vous n’avez touché à rien de fondamental.
Une vraie transition dérange, redistribue, secoue. Le consensus est souvent le signe d’un compromis creux.
Vous voulez des résistances ? Bonne nouvelle, vous touchez un nerf. Sinon, recommencez. Plus fort.
Une vraie transformation fait des vagues. Le consensus est rarement un bon signe. Si tout le monde applaudit, c’est que vous n’avez touché à rien de fondamental.
Une vraie transition dérange, redistribue, secoue. Le consensus est souvent le signe d’un compromis creux.
Vous voulez des résistances ? Bonne nouvelle, vous touchez un nerf. Sinon, recommencez. Plus fort.
Inexact !
Réponse B.
Une vraie transformation fait des vagues. Le consensus est rarement un bon signe. Si tout le monde applaudit, c’est que vous n’avez touché à rien de fondamental.
Une vraie transition dérange, redistribue, secoue. Le consensus est souvent le signe d’un compromis creux.
Vous voulez des résistances ? Bonne nouvelle, vous touchez un nerf. Sinon, recommencez. Plus fort.
Une vraie transformation fait des vagues. Le consensus est rarement un bon signe. Si tout le monde applaudit, c’est que vous n’avez touché à rien de fondamental.
Une vraie transition dérange, redistribue, secoue. Le consensus est souvent le signe d’un compromis creux.
Vous voulez des résistances ? Bonne nouvelle, vous touchez un nerf. Sinon, recommencez. Plus fort.
Vous voulez que votre entreprise devienne leader climatique. Votre premier acte est :
Réponse A : Lancer un grand plan de communication.
Réponse B : Réécrire la raison d’être autour de la régénération.
Réponse C : Arrêter un produit ou service incompatible avec vos objectifs.
Exact !
Réponse C.
La crédibilité se mesure à ce que vous êtes prêts à abandonner. On reconnaît un tournant stratégique à ce que l’on abandonne, pas à ce que l’on proclame. Tant que vous additionnez sans retrancher, vous êtes dans l’illusion. Trancher dans le vif, c’est ce qui donne de la crédibilité au discours. Dire non à un business toxique, c’est ce qui distingue les pionniers des bavards. Commencez par couper. Le reste suivra.
La crédibilité se mesure à ce que vous êtes prêts à abandonner. On reconnaît un tournant stratégique à ce que l’on abandonne, pas à ce que l’on proclame. Tant que vous additionnez sans retrancher, vous êtes dans l’illusion. Trancher dans le vif, c’est ce qui donne de la crédibilité au discours. Dire non à un business toxique, c’est ce qui distingue les pionniers des bavards. Commencez par couper. Le reste suivra.
Inexact !
Réponse C.
La crédibilité se mesure à ce que vous êtes prêts à abandonner. On reconnaît un tournant stratégique à ce que l’on abandonne, pas à ce que l’on proclame. Tant que vous additionnez sans retrancher, vous êtes dans l’illusion. Trancher dans le vif, c’est ce qui donne de la crédibilité au discours. Dire non à un business toxique, c’est ce qui distingue les pionniers des bavards. Commencez par couper. Le reste suivra.
La crédibilité se mesure à ce que vous êtes prêts à abandonner. On reconnaît un tournant stratégique à ce que l’on abandonne, pas à ce que l’on proclame. Tant que vous additionnez sans retrancher, vous êtes dans l’illusion. Trancher dans le vif, c’est ce qui donne de la crédibilité au discours. Dire non à un business toxique, c’est ce qui distingue les pionniers des bavards. Commencez par couper. Le reste suivra.
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