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Vitesse, adaptabilité, innovation : avec des exigences toujours plus grandes, l’erreur est aujourd’hui plus humaine que jamais ! Or si l’échec est une source évidente d’enseignements, il s’avère aussi que toutes les erreurs ne valent pas le coup d’être commises.
L’échec est inévitable
Vrai
Faux
Exact !
La perception de l’échec varie considérablement selon les individus, car les leviers d’engagement dans un projet sont divers : reconnaissance de compétences, réponse à un besoin d’autonomie ou assurance d’un sentiment d’appartenance…
Quelle que soit la motivation initiale, plus un projet est important à vos yeux plus le tribut émotionnel à payer est lourd en cas d’échec. Échec qui n’est jamais souhaité ni facile à vivre, mais qui a une constante : personne n’y échappe.
Si apprendre de ses erreurs et échecs est un désir très largement partagé, ce n’est en rien un automatisme. Heureusement les opportunités de progresser sont à la hauteur de la déception – à condition de lever les barrières émotionnelles qui entravent le processus d’apprentissage.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009)).
Quelle que soit la motivation initiale, plus un projet est important à vos yeux plus le tribut émotionnel à payer est lourd en cas d’échec. Échec qui n’est jamais souhaité ni facile à vivre, mais qui a une constante : personne n’y échappe.
Si apprendre de ses erreurs et échecs est un désir très largement partagé, ce n’est en rien un automatisme. Heureusement les opportunités de progresser sont à la hauteur de la déception – à condition de lever les barrières émotionnelles qui entravent le processus d’apprentissage.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009)).
Inexact !
La perception de l’échec varie considérablement selon les individus, car les leviers d’engagement dans un projet sont divers : reconnaissance de compétences, réponse à un besoin d’autonomie ou assurance d’un sentiment d’appartenance…
Quelle que soit la motivation initiale, plus un projet est important à vos yeux plus le tribut émotionnel à payer est lourd en cas d’échec. Échec qui n’est jamais souhaité ni facile à vivre, mais qui a une constante : personne n’y échappe.
Si apprendre de ses erreurs et échecs est un désir très largement partagé, ce n’est en rien un automatisme. Heureusement les opportunités de progresser sont à la hauteur de la déception – à condition de lever les barrières émotionnelles qui entravent le processus d’apprentissage.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009)).
Quelle que soit la motivation initiale, plus un projet est important à vos yeux plus le tribut émotionnel à payer est lourd en cas d’échec. Échec qui n’est jamais souhaité ni facile à vivre, mais qui a une constante : personne n’y échappe.
Si apprendre de ses erreurs et échecs est un désir très largement partagé, ce n’est en rien un automatisme. Heureusement les opportunités de progresser sont à la hauteur de la déception – à condition de lever les barrières émotionnelles qui entravent le processus d’apprentissage.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009)).
Les erreurs intelligentes sont souhaitables
Vrai
Faux
Exact !
Bonne nouvelle : les petites défaites peuvent créer de la valeur, avant tout parce qu’elles sont riches en enseignements. « Elles éliminent des options, elles permettent de détecter les erreurs de raisonnement, elles infirment des hypothèses... » Mais ces bénéfices sont rarement entendus, d’une part parce que vous n’êtes pas toujours capables d’apprendre de vos erreurs et d’autre part parce que tous les échecs ne sont pas vertueux : les échecs massifs qui se révèlent sur le tard ont souvent des conséquences désastreuses. Pour les éviter, Anjali Sastry et Kara Penn suggèrent de « favoriser les petites erreurs intelligentes qui permettent aux équipes de mener à bien leurs missions tout en enrichissant leurs compétences, leurs pratiques et leur compréhension d’une problématique. » Comme l’affirme Soichiro Honda, le fondateur de la Honda Motor Company : « Le succès représente 1 % de votre travail ; les 99 % restants sont ce qu’on peut appeler vos échecs. »
Source : Fail better: Design smart mistakes and succeed sooner d’Anjali SASTRY et Kara PENN (Harvard Business Review Press, 2014).
Source : Fail better: Design smart mistakes and succeed sooner d’Anjali SASTRY et Kara PENN (Harvard Business Review Press, 2014).
Inexact !
Bonne nouvelle : les petites défaites peuvent créer de la valeur, avant tout parce qu’elles sont riches en enseignements. « Elles éliminent des options, elles permettent de détecter les erreurs de raisonnement, elles infirment des hypothèses... » Mais ces bénéfices sont rarement entendus, d’une part parce que vous n’êtes pas toujours capables d’apprendre de vos erreurs et d’autre part parce que tous les échecs ne sont pas vertueux : les échecs massifs qui se révèlent sur le tard ont souvent des conséquences désastreuses. Pour les éviter, Anjali Sastry et Kara Penn suggèrent de « favoriser les petites erreurs intelligentes qui permettent aux équipes de mener à bien leurs missions tout en enrichissant leurs compétences, leurs pratiques et leur compréhension d’une problématique. » Comme l’affirme Soichiro Honda, le fondateur de la Honda Motor Company : « Le succès représente 1 % de votre travail ; les 99 % restants sont ce qu’on peut appeler vos échecs. »
Source : Fail better: Design smart mistakes and succeed sooner d’Anjali SASTRY et Kara PENN (Harvard Business Review Press, 2014).
Source : Fail better: Design smart mistakes and succeed sooner d’Anjali SASTRY et Kara PENN (Harvard Business Review Press, 2014).
Admettre une erreur est un désaveu, en quelque sorte
Vrai
Faux
Exact !
Bien sûr que non. C’est l’une des trois bonnes raisons d’avoir la lucidité de décrocher à temps. Même quand un projet est de toute évidence voué à l’échec, la décision de décrocher reste difficile à prendre. L’acharnement qui bien souvent s’installe, alors que le bon sens dicte de s’arrêter, s’explique par de bonnes et de « moins bonnes » raisons :
1/ Cécité, le refus d’admettre ses erreurs, car clore un projet dans lequel ont été investis sueur, temps et argent sonne comme un désaveu pour vous.
2/ Foi irréaliste, ou l’espérance irraisonnée de se refaire, à l’instar d’un joueur de casino, qui parie, perd et parie encore plus dans l’espoir de regagner ce qu’il a perdu,
3/ Procrastination, car ajourner une décision inévitable est un mécanisme de défense classique face à une menace.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
1/ Cécité, le refus d’admettre ses erreurs, car clore un projet dans lequel ont été investis sueur, temps et argent sonne comme un désaveu pour vous.
2/ Foi irréaliste, ou l’espérance irraisonnée de se refaire, à l’instar d’un joueur de casino, qui parie, perd et parie encore plus dans l’espoir de regagner ce qu’il a perdu,
3/ Procrastination, car ajourner une décision inévitable est un mécanisme de défense classique face à une menace.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Inexact !
Bien sûr que non. C’est l’une des trois bonnes raisons d’avoir la lucidité de décrocher à temps. Même quand un projet est de toute évidence voué à l’échec, la décision de décrocher reste difficile à prendre. L’acharnement qui bien souvent s’installe, alors que le bon sens dicte de s’arrêter, s’explique par de bonnes et de « moins bonnes » raisons :
1/ Cécité, le refus d’admettre ses erreurs, car clore un projet dans lequel ont été investis sueur, temps et argent sonne comme un désaveu pour vous.
2/ Foi irréaliste, ou l’espérance irraisonnée de se refaire, à l’instar d’un joueur de casino, qui parie, perd et parie encore plus dans l’espoir de regagner ce qu’il a perdu,
3/ Procrastination, car ajourner une décision inévitable est un mécanisme de défense classique face à une menace.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
1/ Cécité, le refus d’admettre ses erreurs, car clore un projet dans lequel ont été investis sueur, temps et argent sonne comme un désaveu pour vous.
2/ Foi irréaliste, ou l’espérance irraisonnée de se refaire, à l’instar d’un joueur de casino, qui parie, perd et parie encore plus dans l’espoir de regagner ce qu’il a perdu,
3/ Procrastination, car ajourner une décision inévitable est un mécanisme de défense classique face à une menace.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Mieux vaut reculer … pour mieux sauter
Vrai
Faux
Exact !
Une durée « idéale » de préparation à l’échec varie selon les individus et les situations. Mais il faut savoir s’y préparer.
Vous accorder un délai avant d’abandonner un projet revêt un sens s’il vous aide à vous préparer émotionnellement à l’échec. Ce temps de latence n’est ni du déni ni de la procrastination : les signaux négatifs ont été reçus, acceptés et intégrés, l’échec est perçu comme inéluctable. Se joue alors le « processus d’anticipation » : vous mettez cette transition à profit pour vous désengager graduellement du projet et déplacer votre énergie vers d’autres objectifs.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Vous accorder un délai avant d’abandonner un projet revêt un sens s’il vous aide à vous préparer émotionnellement à l’échec. Ce temps de latence n’est ni du déni ni de la procrastination : les signaux négatifs ont été reçus, acceptés et intégrés, l’échec est perçu comme inéluctable. Se joue alors le « processus d’anticipation » : vous mettez cette transition à profit pour vous désengager graduellement du projet et déplacer votre énergie vers d’autres objectifs.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Inexact !
Une durée « idéale » de préparation à l’échec varie selon les individus et les situations. Mais il faut savoir s’y préparer.
Vous accorder un délai avant d’abandonner un projet revêt un sens s’il vous aide à vous préparer émotionnellement à l’échec. Ce temps de latence n’est ni du déni ni de la procrastination : les signaux négatifs ont été reçus, acceptés et intégrés, l’échec est perçu comme inéluctable. Se joue alors le « processus d’anticipation » : vous mettez cette transition à profit pour vous désengager graduellement du projet et déplacer votre énergie vers d’autres objectifs.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Vous accorder un délai avant d’abandonner un projet revêt un sens s’il vous aide à vous préparer émotionnellement à l’échec. Ce temps de latence n’est ni du déni ni de la procrastination : les signaux négatifs ont été reçus, acceptés et intégrés, l’échec est perçu comme inéluctable. Se joue alors le « processus d’anticipation » : vous mettez cette transition à profit pour vous désengager graduellement du projet et déplacer votre énergie vers d’autres objectifs.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Mieux vaut arrêter le plus vite possible en cas d’échec attendu
Vrai
Faux
Exact !
A vous d’arbitrer entre trop vite et pas assez. Car si le laps de temps entre le constat d’échec et l’arrêt du projet est trop court, le processus d’anticipation ne sera pas possible. Or celui-ci aide à rebondir plus rapidement et à maximiser l’efficacité des équipes. Un projet stoppé trop brutalement pour une cause endogène (conjoncture défavorable, défaillance technologique, défaut de financement) provoque la plupart du temps un choc au sein de l’équipe qui y travaillait ; autant s’accorder un délai supplémentaire pour préparer les troupes à l’arrêt du projet, plutôt que de les prendre au dépourvu.
Certes, cet ajournement a un coût. Mais la démobilisation d’une équipe entière peut coûter beaucoup plus cher in fine !
La contradiction entre les enjeux financiers et émotionnels de l’échec n’est donc qu’apparente, la réalité est beaucoup plus complexe et imbriquée. L’arbitrage entre arrêter tout de suite ou attendre un peu devra donc composer avec ces deux facettes pour prendre la meilleure décision pour le collectif.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Certes, cet ajournement a un coût. Mais la démobilisation d’une équipe entière peut coûter beaucoup plus cher in fine !
La contradiction entre les enjeux financiers et émotionnels de l’échec n’est donc qu’apparente, la réalité est beaucoup plus complexe et imbriquée. L’arbitrage entre arrêter tout de suite ou attendre un peu devra donc composer avec ces deux facettes pour prendre la meilleure décision pour le collectif.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Inexact !
A vous d’arbitrer entre trop vite et pas assez. Car si le laps de temps entre le constat d’échec et l’arrêt du projet est trop court, le processus d’anticipation ne sera pas possible. Or celui-ci aide à rebondir plus rapidement et à maximiser l’efficacité des équipes. Un projet stoppé trop brutalement pour une cause endogène (conjoncture défavorable, défaillance technologique, défaut de financement) provoque la plupart du temps un choc au sein de l’équipe qui y travaillait ; autant s’accorder un délai supplémentaire pour préparer les troupes à l’arrêt du projet, plutôt que de les prendre au dépourvu.
Certes, cet ajournement a un coût. Mais la démobilisation d’une équipe entière peut coûter beaucoup plus cher in fine !
La contradiction entre les enjeux financiers et émotionnels de l’échec n’est donc qu’apparente, la réalité est beaucoup plus complexe et imbriquée. L’arbitrage entre arrêter tout de suite ou attendre un peu devra donc composer avec ces deux facettes pour prendre la meilleure décision pour le collectif.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Certes, cet ajournement a un coût. Mais la démobilisation d’une équipe entière peut coûter beaucoup plus cher in fine !
La contradiction entre les enjeux financiers et émotionnels de l’échec n’est donc qu’apparente, la réalité est beaucoup plus complexe et imbriquée. L’arbitrage entre arrêter tout de suite ou attendre un peu devra donc composer avec ces deux facettes pour prendre la meilleure décision pour le collectif.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Autant passer le plus vite possible à autre chose
Vrai
Faux
Exact !
Un échec génère automatiquement des émotions négatives. Trois attitudes se proposent à vous pour les contrer et faire en sorte qu’elles ne condamnent ni à la frustration, l’angoisse, la colère ou toute autre émotion qui empêcherait l’échec de se transformer en source d’apprentissage.
La première est de savoir décortiquer l’échec. Pour désamorcer toute bombe émotionnelle, mieux vaut mobiliser ses pensées sur les circonstances de l’échec et en discuter avec son entourage afin de mieux les comprendre. Quelles décisions ont mené à cette issue ? Quelles étaient les alternatives existantes ? Cette analyse, ce séquençage des erreurs permet de donner un sens à l’échec. Rationalisé, il devient plus acceptable et sa charge émotionnelle s’en trouve d’autant diminuée ; et vous pouvez prendre des mesures pour ne pas le reproduire à l’identique dans le futur.
Cette analyse en profondeur de l’échec devient alors source de progrès personnel et d’efficacité professionnelle.
Attention cependant : se concentrer sur l’échec oblige à affronter ses conséquences, ce qui risque d’exacerber les émotions négatives. Attention à ne pas plonger dans des ruminations stériles et paralysantes.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
La première est de savoir décortiquer l’échec. Pour désamorcer toute bombe émotionnelle, mieux vaut mobiliser ses pensées sur les circonstances de l’échec et en discuter avec son entourage afin de mieux les comprendre. Quelles décisions ont mené à cette issue ? Quelles étaient les alternatives existantes ? Cette analyse, ce séquençage des erreurs permet de donner un sens à l’échec. Rationalisé, il devient plus acceptable et sa charge émotionnelle s’en trouve d’autant diminuée ; et vous pouvez prendre des mesures pour ne pas le reproduire à l’identique dans le futur.
Cette analyse en profondeur de l’échec devient alors source de progrès personnel et d’efficacité professionnelle.
Attention cependant : se concentrer sur l’échec oblige à affronter ses conséquences, ce qui risque d’exacerber les émotions négatives. Attention à ne pas plonger dans des ruminations stériles et paralysantes.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Inexact !
Un échec génère automatiquement des émotions négatives. Trois attitudes se proposent à vous pour les contrer et faire en sorte qu’elles ne condamnent ni à la frustration, l’angoisse, la colère ou toute autre émotion qui empêcherait l’échec de se transformer en source d’apprentissage.
La première est de savoir décortiquer l’échec. Pour désamorcer toute bombe émotionnelle, mieux vaut mobiliser ses pensées sur les circonstances de l’échec et en discuter avec son entourage afin de mieux les comprendre. Quelles décisions ont mené à cette issue ? Quelles étaient les alternatives existantes ? Cette analyse, ce séquençage des erreurs permet de donner un sens à l’échec. Rationalisé, il devient plus acceptable et sa charge émotionnelle s’en trouve d’autant diminuée ; et vous pouvez prendre des mesures pour ne pas le reproduire à l’identique dans le futur.
Cette analyse en profondeur de l’échec devient alors source de progrès personnel et d’efficacité professionnelle.
Attention cependant : se concentrer sur l’échec oblige à affronter ses conséquences, ce qui risque d’exacerber les émotions négatives. Attention à ne pas plonger dans des ruminations stériles et paralysantes.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
La première est de savoir décortiquer l’échec. Pour désamorcer toute bombe émotionnelle, mieux vaut mobiliser ses pensées sur les circonstances de l’échec et en discuter avec son entourage afin de mieux les comprendre. Quelles décisions ont mené à cette issue ? Quelles étaient les alternatives existantes ? Cette analyse, ce séquençage des erreurs permet de donner un sens à l’échec. Rationalisé, il devient plus acceptable et sa charge émotionnelle s’en trouve d’autant diminuée ; et vous pouvez prendre des mesures pour ne pas le reproduire à l’identique dans le futur.
Cette analyse en profondeur de l’échec devient alors source de progrès personnel et d’efficacité professionnelle.
Attention cependant : se concentrer sur l’échec oblige à affronter ses conséquences, ce qui risque d’exacerber les émotions négatives. Attention à ne pas plonger dans des ruminations stériles et paralysantes.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Autant reprendre confiance le plus vite possible
Vrai
Faux
Exact !
Vrai, mais comment faire Comment tirer les leçons du passé sans pour autant perdre son temps à l’autoflagellation ? Essayez d’alterner deux attitudes de manière très consciente :
• Dans un premier temps, concentrez-vous sur l’échec et ses raisons pour en tirer les leçons.
• Puis, lorsque ce travail d’investigation devient émotionnellement trop lourd, faites diversion en vous tournant vers d’autres sujets.
• Une fois les batteries mentales « rechargées », reprenez l’analyse de l’échec, avec davantage de recul et d’efficacité.
• Alternez entre les deux postures aussi longtemps que nécessaire pour tirer tous les enseignements de l’échec.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
• Dans un premier temps, concentrez-vous sur l’échec et ses raisons pour en tirer les leçons.
• Puis, lorsque ce travail d’investigation devient émotionnellement trop lourd, faites diversion en vous tournant vers d’autres sujets.
• Une fois les batteries mentales « rechargées », reprenez l’analyse de l’échec, avec davantage de recul et d’efficacité.
• Alternez entre les deux postures aussi longtemps que nécessaire pour tirer tous les enseignements de l’échec.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Inexact !
Vrai, mais comment faire Comment tirer les leçons du passé sans pour autant perdre son temps à l’autoflagellation ? Essayez d’alterner deux attitudes de manière très consciente :
• Dans un premier temps, concentrez-vous sur l’échec et ses raisons pour en tirer les leçons.
• Puis, lorsque ce travail d’investigation devient émotionnellement trop lourd, faites diversion en vous tournant vers d’autres sujets.
• Une fois les batteries mentales « rechargées », reprenez l’analyse de l’échec, avec davantage de recul et d’efficacité.
• Alternez entre les deux postures aussi longtemps que nécessaire pour tirer tous les enseignements de l’échec.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
• Dans un premier temps, concentrez-vous sur l’échec et ses raisons pour en tirer les leçons.
• Puis, lorsque ce travail d’investigation devient émotionnellement trop lourd, faites diversion en vous tournant vers d’autres sujets.
• Une fois les batteries mentales « rechargées », reprenez l’analyse de l’échec, avec davantage de recul et d’efficacité.
• Alternez entre les deux postures aussi longtemps que nécessaire pour tirer tous les enseignements de l’échec.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Mieux vaut banaliser l’échec
Vrai
Faux
Exact !
Vrai, car comment conserver un juste engagement quand la nature même de l’environnement professionnel expose chacun à des échecs à répétition ?
En banalisant l’échec. Face à un afflux d’émotions négatives difficiles à gérer, votre meilleure parade est de vous concentrer sur ces « petites victoires » quotidiennes, et, corrélativement, de considérer les échecs répétés comme autant de non-événements. Vous renforcez votre capacité à rester performant dans l’exécution de tâches ingrates et à résister à l’échec puisque vous la videz ainsi de tout affect par rapport aux projets menés.
Inconvénient : cette « désensibilisation » peut freiner tout apprentissage des erreurs. Elle se traduit également par une « perte » de passion et donc de conviction pour porter les projets.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
En banalisant l’échec. Face à un afflux d’émotions négatives difficiles à gérer, votre meilleure parade est de vous concentrer sur ces « petites victoires » quotidiennes, et, corrélativement, de considérer les échecs répétés comme autant de non-événements. Vous renforcez votre capacité à rester performant dans l’exécution de tâches ingrates et à résister à l’échec puisque vous la videz ainsi de tout affect par rapport aux projets menés.
Inconvénient : cette « désensibilisation » peut freiner tout apprentissage des erreurs. Elle se traduit également par une « perte » de passion et donc de conviction pour porter les projets.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
Inexact !
Vrai, car comment conserver un juste engagement quand la nature même de l’environnement professionnel expose chacun à des échecs à répétition ?
En banalisant l’échec. Face à un afflux d’émotions négatives difficiles à gérer, votre meilleure parade est de vous concentrer sur ces « petites victoires » quotidiennes, et, corrélativement, de considérer les échecs répétés comme autant de non-événements. Vous renforcez votre capacité à rester performant dans l’exécution de tâches ingrates et à résister à l’échec puisque vous la videz ainsi de tout affect par rapport aux projets menés.
Inconvénient : cette « désensibilisation » peut freiner tout apprentissage des erreurs. Elle se traduit également par une « perte » de passion et donc de conviction pour porter les projets.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
En banalisant l’échec. Face à un afflux d’émotions négatives difficiles à gérer, votre meilleure parade est de vous concentrer sur ces « petites victoires » quotidiennes, et, corrélativement, de considérer les échecs répétés comme autant de non-événements. Vous renforcez votre capacité à rester performant dans l’exécution de tâches ingrates et à résister à l’échec puisque vous la videz ainsi de tout affect par rapport aux projets menés.
Inconvénient : cette « désensibilisation » peut freiner tout apprentissage des erreurs. Elle se traduit également par une « perte » de passion et donc de conviction pour porter les projets.
Source : From Lemons to Lemonade: Squeeze Every Last Drop of Success Out of your Mistakes, de Dean A. Shepherd, (Wharton School Publishing, 2009).
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