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Les nouvelles technologies ont fondamentalement changé la capacité à capter l’attention d’autrui
Vrai
Faux
Exact !
Puisqu’il suffit d’un seul clic pour avoir accès à une infinie variété de distractions, l’attention est une ressource plus rare et plus éphémère que jamais. Certes, la technologie a accru la quantité d’informations disponibles et permet, partout dans le monde, de se connecter avec davantage de personnes, d’idées et de ressources. Mais les nouvelles technologies n’ont pas réellement changé les principaux processus cognitifs qui, au terme d’une évolution de 200 000 ans, régissent l’attention humaine. Les mécanismes qui permettent de capter et maintenir l’attention dans la durée sont relativement anciens… mais pour autant rarement maîtrisés.
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Inexact !
Puisqu’il suffit d’un seul clic pour avoir accès à une infinie variété de distractions, l’attention est une ressource plus rare et plus éphémère que jamais. Certes, la technologie a accru la quantité d’informations disponibles et permet, partout dans le monde, de se connecter avec davantage de personnes, d’idées et de ressources. Mais les nouvelles technologies n’ont pas réellement changé les principaux processus cognitifs qui, au terme d’une évolution de 200 000 ans, régissent l’attention humaine. Les mécanismes qui permettent de capter et maintenir l’attention dans la durée sont relativement anciens… mais pour autant rarement maîtrisés.
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Surprendre régulièrement vos équipes vous permettra de gagner leur attention
Vrai
Faux
Exact !
« Si vous entendez tirer un coup de feu, vous tournez la tête. » La première étape de captation de l’attention, la plus simple aussi, ne dure que deux secondes et est déclenchée par des « impressions mentales, affectives et viscérales quasi instantanées ». Les individus détectent automatiquement les changements qui surviennent dans leur environnement, en particulier les menaces potentielles. Il en résulte une réceptivité universelle aux nouveaux stimuli. « Nous passons notre temps à porter notre attention d’un objet à un autre, aux aguets de tout ce qui pourrait être dangereux, intéressant ou nouveau, jusqu’au moment où nous décidons de la concentrer sur quelque chose de précis. »
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Inexact !
« Si vous entendez tirer un coup de feu, vous tournez la tête. » La première étape de captation de l’attention, la plus simple aussi, ne dure que deux secondes et est déclenchée par des « impressions mentales, affectives et viscérales quasi instantanées ». Les individus détectent automatiquement les changements qui surviennent dans leur environnement, en particulier les menaces potentielles. Il en résulte une réceptivité universelle aux nouveaux stimuli. « Nous passons notre temps à porter notre attention d’un objet à un autre, aux aguets de tout ce qui pourrait être dangereux, intéressant ou nouveau, jusqu’au moment où nous décidons de la concentrer sur quelque chose de précis. »
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Ce qui attire l’attention peut aussi s’oublier facilement
Vrai
Faux
Exact !
Ce qui attire l’attention peut être aussi immédiatement oublié. Rien ne pénètre la mémoire si les individus ne décident pas consciemment d’y focaliser leur attention. Ils n’ont pas le temps d’évaluer l’intérêt de toutes les personnes, entreprises ou idées qu’ils rencontrent et utilisent des raccourcis pour décider sur quoi porter leur attention. C’est pourquoi savoir prolonger l’attention immédiate qu’on vous porte en une attention soutenue et longue durée est une prouesse du leadership !
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Inexact !
Ce qui attire l’attention peut être aussi immédiatement oublié. Rien ne pénètre la mémoire si les individus ne décident pas consciemment d’y focaliser leur attention. Ils n’ont pas le temps d’évaluer l’intérêt de toutes les personnes, entreprises ou idées qu’ils rencontrent et utilisent des raccourcis pour décider sur quoi porter leur attention. C’est pourquoi savoir prolonger l’attention immédiate qu’on vous porte en une attention soutenue et longue durée est une prouesse du leadership !
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Pour donner de l’impact à votre message, mieux vaut s’inscrire dans le cadre de référence de votre auditoire
Vrai
Faux
Exact !
Vos interlocuteurs ont plus de chances de s’intéresser à votre message quand il s’inscrit dans leur propre cadre de références (somme de leurs expériences passées, de leurs attentes culturelles, de leurs centres d’intérêt, de leurs opinions et de leur état d’esprit). Pour identifier le cadre de références de votre auditoire, posez vous les questions suivantes : quand ce dernier est-il le plus ou le moins stressé ? Quand et où est-il le moins distrait ? Quel genre de mots ou de sujets pousseront automatiquement vos auditeurs à ne plus faire attention à vous ? Quelles seront leurs objections naturelles à votre message ? Quels mots ou arguments les mettraient sur la défensive ?
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Inexact !
Vos interlocuteurs ont plus de chances de s’intéresser à votre message quand il s’inscrit dans leur propre cadre de références (somme de leurs expériences passées, de leurs attentes culturelles, de leurs centres d’intérêt, de leurs opinions et de leur état d’esprit). Pour identifier le cadre de références de votre auditoire, posez vous les questions suivantes : quand ce dernier est-il le plus ou le moins stressé ? Quand et où est-il le moins distrait ? Quel genre de mots ou de sujets pousseront automatiquement vos auditeurs à ne plus faire attention à vous ? Quelles seront leurs objections naturelles à votre message ? Quels mots ou arguments les mettraient sur la défensive ?
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Pour être efficace, le messager est plus important que le message
Vrai
Faux
Exact !
Fausse croyance ! S’entourer des bonnes personnes (experts reconnus, sommités mondiales dans leur domaine, blogger VIP, etc.) et les convaincre de soutenir votre idée, votre produit ou votre marque n’est pas forcément la meilleure façon de générer du bouche-à-oreille. « L’idée reçue selon laquelle tout ce que touchent ces personnes va se transformer en or est fausse », explique Jonah Berger. Trop d’attention sur le messager nuit au message. « En effet, seule compte la pertinence de ce dernier. Peu importe qui l’émet, son pouvoir de persuasion et s’il possède dix ou dix mille contacts. » En effet, capter l’attention ne fonctionne que pour les bonnes idées. On ne peut pas tromper sa cible dans la durée, quelle que soit la qualité du ou des messagers.
Source : Contagious: Why Things Catch on de Jonah Berger (Simon & Schuster, mars 2013).
Source : Contagious: Why Things Catch on de Jonah Berger (Simon & Schuster, mars 2013).
Inexact !
Fausse croyance ! S’entourer des bonnes personnes (experts reconnus, sommités mondiales dans leur domaine, blogger VIP, etc.) et les convaincre de soutenir votre idée, votre produit ou votre marque n’est pas forcément la meilleure façon de générer du bouche-à-oreille. « L’idée reçue selon laquelle tout ce que touchent ces personnes va se transformer en or est fausse », explique Jonah Berger. Trop d’attention sur le messager nuit au message. « En effet, seule compte la pertinence de ce dernier. Peu importe qui l’émet, son pouvoir de persuasion et s’il possède dix ou dix mille contacts. » En effet, capter l’attention ne fonctionne que pour les bonnes idées. On ne peut pas tromper sa cible dans la durée, quelle que soit la qualité du ou des messagers.
Source : Contagious: Why Things Catch on de Jonah Berger (Simon & Schuster, mars 2013).
Source : Contagious: Why Things Catch on de Jonah Berger (Simon & Schuster, mars 2013).
Seule l’empathie permet de s’assurer d’une attention durable
Vrai
Faux
Exact !
« Les individus ont un profond besoin d’être reconnus, validés et compris » et ce besoin détermine à qui ils accordent leur attention sur le long terme. « Tous les mammifères ont besoin d’attention. Mais seuls les êtres humains ont besoin de reconnaissance », précise Thomas de Zengotita, expert en anthropologie et spécialiste des médias. La reconnaissance physique (connaissez-vous mon nom ? Savez-vous que j’existe ?), la validation (me trouvez-vous exceptionnel, unique, important ?) et l’empathie (ressentez-vous ce que je ressens ?) sont les trois piliers d’une attention durable, qui ne sauraient être suffisants s’ils ne s’inscrivaient pas dans un effort constant, dans la durée.
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Inexact !
« Les individus ont un profond besoin d’être reconnus, validés et compris » et ce besoin détermine à qui ils accordent leur attention sur le long terme. « Tous les mammifères ont besoin d’attention. Mais seuls les êtres humains ont besoin de reconnaissance », précise Thomas de Zengotita, expert en anthropologie et spécialiste des médias. La reconnaissance physique (connaissez-vous mon nom ? Savez-vous que j’existe ?), la validation (me trouvez-vous exceptionnel, unique, important ?) et l’empathie (ressentez-vous ce que je ressens ?) sont les trois piliers d’une attention durable, qui ne sauraient être suffisants s’ils ne s’inscrivaient pas dans un effort constant, dans la durée.
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Source : Captivology: The science of capturing people’s attention de Ben PARR (Harper Collins, mars 2015).
Une histoire inspirante vaut mieux qu’un long discours
Vrai
Faux
Exact !
Identifiez le cœur émotionnel de votre message, ce en quoi il peut être porteur de sens pour votre équipe. Si la charge affective de sujets comme les cartes routières indéchirables ou les stratégies de fidélisation des clients est parfois difficile à identifier, la thérapie des histoires permet toujours d’y parvenir. Cela consiste à réfléchir en partant de questions délibérément centrées sur l’humain puis à formuler des messages porteurs des réponses appropriées. Qu’est-ce qui vous enthousiasme, vous et votre équipe ? Quelle est votre raison d’être ? Pourquoi faites-vous ce que vous faites ? Quels sont vos points forts ? Où créez-vous le plus de valeur ?
Source : D’après « Manage Your Team’s Attention » (Harvard Business Review, janvier 2015) et « Are you paying attention ? » de Julian Birkinshaw (London Business School, mars 2015)
Source : D’après « Manage Your Team’s Attention » (Harvard Business Review, janvier 2015) et « Are you paying attention ? » de Julian Birkinshaw (London Business School, mars 2015)
Inexact !
Identifiez le cœur émotionnel de votre message, ce en quoi il peut être porteur de sens pour votre équipe. Si la charge affective de sujets comme les cartes routières indéchirables ou les stratégies de fidélisation des clients est parfois difficile à identifier, la thérapie des histoires permet toujours d’y parvenir. Cela consiste à réfléchir en partant de questions délibérément centrées sur l’humain puis à formuler des messages porteurs des réponses appropriées. Qu’est-ce qui vous enthousiasme, vous et votre équipe ? Quelle est votre raison d’être ? Pourquoi faites-vous ce que vous faites ? Quels sont vos points forts ? Où créez-vous le plus de valeur ?
Source : D’après « Manage Your Team’s Attention » (Harvard Business Review, janvier 2015) et « Are you paying attention ? » de Julian Birkinshaw (London Business School, mars 2015)
Source : D’après « Manage Your Team’s Attention » (Harvard Business Review, janvier 2015) et « Are you paying attention ? » de Julian Birkinshaw (London Business School, mars 2015)
Pour focaliser l’attention de vos équipes, mieux vaut savoir gérer sa propre attention
Vrai
Faux
Exact !
Commencez par vous imposer une discipline de gestion de l’information. Inutile d’espérer focaliser l’attention de vos équipes sur ce qui compte vraiment avant d’avoir vous-même fait cet effort. Limitez la quantité d’information que vous amassez et ménagez vous le temps de la réflexion. « Avoir accès à des monceaux d’informations oblige à trouver du temps pour mener un long travail de réflexion, affirme Julian Birkinshaw. Il s’agit d’une version « low tech » de la méditation ou de la pleine conscience. Autrement dit, ménagez vous des pauses au cours de la journée. Par exemple pendant vos trajets, votre jogging ou en salle de sport, afin de décoder les stimuli dont vous venez d’être bombardé et de laisser vos idées prendre forme. »
Source : D’après « Manage Your Team’s Attention » (Harvard Business Review, janvier 2015) et « Are you paying attention ? » de Julian Birkinshaw (London Business School, mars 2015)
Source : D’après « Manage Your Team’s Attention » (Harvard Business Review, janvier 2015) et « Are you paying attention ? » de Julian Birkinshaw (London Business School, mars 2015)
Inexact !
Commencez par vous imposer une discipline de gestion de l’information. Inutile d’espérer focaliser l’attention de vos équipes sur ce qui compte vraiment avant d’avoir vous-même fait cet effort. Limitez la quantité d’information que vous amassez et ménagez vous le temps de la réflexion. « Avoir accès à des monceaux d’informations oblige à trouver du temps pour mener un long travail de réflexion, affirme Julian Birkinshaw. Il s’agit d’une version « low tech » de la méditation ou de la pleine conscience. Autrement dit, ménagez vous des pauses au cours de la journée. Par exemple pendant vos trajets, votre jogging ou en salle de sport, afin de décoder les stimuli dont vous venez d’être bombardé et de laisser vos idées prendre forme. »
Source : D’après « Manage Your Team’s Attention » (Harvard Business Review, janvier 2015) et « Are you paying attention ? » de Julian Birkinshaw (London Business School, mars 2015)
Source : D’après « Manage Your Team’s Attention » (Harvard Business Review, janvier 2015) et « Are you paying attention ? » de Julian Birkinshaw (London Business School, mars 2015)
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