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8 questions impertinentes pour tester votre robustesse face aux chocs et aux imprévus. Et qui s’inspirent du vivant pour vous mettre à l’épreuve.
D’après L’Entreprise robuste , d’Olivier Charbonnier, Olivier Hamant et Sandra Enlart. Odile Jacob 2025.
Face à une belle turbulence, votre premier réflexe est de…
Réponse A : Doubler vos efforts pour maintenir le cap coûte que coûte.
Réponse B : Ajuster vos stratégies en fonction des fluctuations et des opportunités
Réponse C : Attendre que la tempête passe avant de prendre une décision.
Exact !
Réponse B.
Dans un monde instable, s’accrocher rigidement à un plan est un suicide stratégique. Le vivant prospère par adaptation et réajustements constants. Une entreprise robuste ne lutte pas contre l’incertitude, elle apprend à naviguer avec. Le vivant ne fonctionne pas comme une machine figée, mais comme un écosystème souple et interconnecté. Une organisation robuste ne vise pas la perfection, mais l’adaptation permanente.
Dans un monde instable, s’accrocher rigidement à un plan est un suicide stratégique. Le vivant prospère par adaptation et réajustements constants. Une entreprise robuste ne lutte pas contre l’incertitude, elle apprend à naviguer avec. Le vivant ne fonctionne pas comme une machine figée, mais comme un écosystème souple et interconnecté. Une organisation robuste ne vise pas la perfection, mais l’adaptation permanente.
Inexact !
Réponse B.
Dans un monde instable, s’accrocher rigidement à un plan est un suicide stratégique. Le vivant prospère par adaptation et réajustements constants. Une entreprise robuste ne lutte pas contre l’incertitude, elle apprend à naviguer avec. Le vivant ne fonctionne pas comme une machine figée, mais comme un écosystème souple et interconnecté. Une organisation robuste ne vise pas la perfection, mais l’adaptation permanente.
Dans un monde instable, s’accrocher rigidement à un plan est un suicide stratégique. Le vivant prospère par adaptation et réajustements constants. Une entreprise robuste ne lutte pas contre l’incertitude, elle apprend à naviguer avec. Le vivant ne fonctionne pas comme une machine figée, mais comme un écosystème souple et interconnecté. Une organisation robuste ne vise pas la perfection, mais l’adaptation permanente.
Votre chaîne de valeur repose sur un fournisseur clé. Que faites-vous ?
Réponse A : Vous sécurisez un contrat béton pour éviter tout imprévu.
Réponse B : Vous diversifiez vos sources pour ne pas dépendre d’un seul acteur.
Réponse C : Vous restez fidèle à votre fournisseur historique pour garantir la stabilité.
Exact !
Réponse B.
Dans le vivant, la monoculture est une faiblesse ; un écosystème repose sur la diversité pour éviter l’effondrement en chaîne. Une entreprise qui dépend d’un seul acteur devient vulnérable. Robuste, elle ne dépend jamais d’une seule source critique.
Dans le vivant, la monoculture est une faiblesse ; un écosystème repose sur la diversité pour éviter l’effondrement en chaîne. Une entreprise qui dépend d’un seul acteur devient vulnérable. Robuste, elle ne dépend jamais d’une seule source critique.
Inexact !
Réponse B.
Dans le vivant, la monoculture est une faiblesse ; un écosystème repose sur la diversité pour éviter l’effondrement en chaîne. Une entreprise qui dépend d’un seul acteur devient vulnérable. Robuste, elle ne dépend jamais d’une seule source critique.
Dans le vivant, la monoculture est une faiblesse ; un écosystème repose sur la diversité pour éviter l’effondrement en chaîne. Une entreprise qui dépend d’un seul acteur devient vulnérable. Robuste, elle ne dépend jamais d’une seule source critique.
Votre stratégie repose sur une prévision à 5 ans. Bonne idée ?
Réponse A : Oui, il faut savoir où on va et ne pas changer de cap.
Réponse B : Oui, à condition d’être attentif aux tendances du marché.
Réponse C : Non, les prévisions fermes sont des pièges dans un monde incertain.
Exact !
Réponse B.
Les plans trop figés deviennent rapidement obsolètes. Dans la nature, les organismes ne prévoient pas l’avenir, ils s’adaptent en temps réel. Soyez souple et prêt à pivoter.
Les plans trop figés deviennent rapidement obsolètes. Dans la nature, les organismes ne prévoient pas l’avenir, ils s’adaptent en temps réel. Soyez souple et prêt à pivoter.
Inexact !
Réponse B.
Les plans trop figés deviennent rapidement obsolètes. Dans la nature, les organismes ne prévoient pas l’avenir, ils s’adaptent en temps réel. Soyez souple et prêt à pivoter.
Les plans trop figés deviennent rapidement obsolètes. Dans la nature, les organismes ne prévoient pas l’avenir, ils s’adaptent en temps réel. Soyez souple et prêt à pivoter.
Comment gérez-vous l’échec dans votre équipe ?
Réponse A : On évite à tout prix, l’échec est un signe d’incompétence
Réponse B : On en fait un levier d’apprentissage pour progresser.
Réponse C : On le sanctionne, sinon personne ne fera d’efforts.
Exact !
Réponse B.
Dans le vivant, l’évolution est faite d’essais, d’erreurs et d’ajustements constants. Une entreprise qui diabolise l’échec bloque toute capacité d’innovation et de résilience.
Dans le vivant, l’évolution est faite d’essais, d’erreurs et d’ajustements constants. Une entreprise qui diabolise l’échec bloque toute capacité d’innovation et de résilience.
Inexact !
Réponse B.
Dans le vivant, l’évolution est faite d’essais, d’erreurs et d’ajustements constants. Une entreprise qui diabolise l’échec bloque toute capacité d’innovation et de résilience.
Dans le vivant, l’évolution est faite d’essais, d’erreurs et d’ajustements constants. Une entreprise qui diabolise l’échec bloque toute capacité d’innovation et de résilience.
Que demandez-vous en priorité à votre équipe ?
Réponse A : Une organisation souple avec des redondances pour absorber les chocs.
Réponse B : Une efficience au max pour respecter l’exigence de productivité
Réponse C : Un respect des décisions hiérarchiques sinon c’est le chaos
Exact !
Réponse A.
La nature ne vise pas l’optimisation parfaite, mais la robustesse. Trop d’efficience tue la résilience. En entreprise, avoir des marges, des ressources inutilisées en apparence, c’est ce qui évite l’effondrement en période de turbulence.
La nature ne vise pas l’optimisation parfaite, mais la robustesse. Trop d’efficience tue la résilience. En entreprise, avoir des marges, des ressources inutilisées en apparence, c’est ce qui évite l’effondrement en période de turbulence.
Inexact !
Réponse A.
La nature ne vise pas l’optimisation parfaite, mais la robustesse. Trop d’efficience tue la résilience. En entreprise, avoir des marges, des ressources inutilisées en apparence, c’est ce qui évite l’effondrement en période de turbulence.
La nature ne vise pas l’optimisation parfaite, mais la robustesse. Trop d’efficience tue la résilience. En entreprise, avoir des marges, des ressources inutilisées en apparence, c’est ce qui évite l’effondrement en période de turbulence.
Quelle est votre vision de la coopération en entreprise ?
Réponse A : Un mythe idéaliste, la vraie vie c’est la compétition.
Réponse B : Un levier stratégique pour faire face à des environnements instables.
Réponse C : Une méthode qui fonctionne seulement quand il y a pénurie de ressources.
Exact !
Réponse B.
Dans le vivant, la coopération est une réponse aux environnements fluctuants. Les entreprises qui réussissent sur le long terme sont celles qui savent créer des synergies, et non celles qui cherchent à écraser la concurrence à tout prix.
Dans le vivant, la coopération est une réponse aux environnements fluctuants. Les entreprises qui réussissent sur le long terme sont celles qui savent créer des synergies, et non celles qui cherchent à écraser la concurrence à tout prix.
Inexact !
Réponse B.
Dans le vivant, la coopération est une réponse aux environnements fluctuants. Les entreprises qui réussissent sur le long terme sont celles qui savent créer des synergies, et non celles qui cherchent à écraser la concurrence à tout prix.
Dans le vivant, la coopération est une réponse aux environnements fluctuants. Les entreprises qui réussissent sur le long terme sont celles qui savent créer des synergies, et non celles qui cherchent à écraser la concurrence à tout prix.
Votre organisation pourrait-elle survivre en mode low tech ?
Réponse A: Non, tout repose sur des infrastructures numériques complexes.
Réponse B : Oui, nous avons prévu des modes de fonctionnement dégradés.
Réponse C: Peut-être, mais ce n’est pas une priorité tant que tout fonctionne.
Exact !
Réponse B.
Dans la nature, un organisme vivant ne dépend jamais d’une seule ressource vitale. Si votre entreprise ne peut fonctionner sans cloud, IA ou supply chain globale, elle est en danger.
Dans la nature, un organisme vivant ne dépend jamais d’une seule ressource vitale. Si votre entreprise ne peut fonctionner sans cloud, IA ou supply chain globale, elle est en danger.
Inexact !
Réponse B.
Dans la nature, un organisme vivant ne dépend jamais d’une seule ressource vitale. Si votre entreprise ne peut fonctionner sans cloud, IA ou supply chain globale, elle est en danger.
Dans la nature, un organisme vivant ne dépend jamais d’une seule ressource vitale. Si votre entreprise ne peut fonctionner sans cloud, IA ou supply chain globale, elle est en danger.
Face à une crise imprévue, qui prend les décisions ?
Réponse A : Un comité de crise qui suit le process établi.
Réponse B : Moi seul, car il faut un leader fort dans la tempête.
Réponse C : Ceux qui sont en première ligne et ont l’information en temps réel.
Exact !
Réponse C.
dans la nature, ceux qui survivent ne sont pas les plus forts, mais les plus adaptables : la réactivité dépend de la capacité des acteurs locaux à s’adapter. Centraliser la prise de décision ralentit l’adaptabilité et peut être fatal en situation critique.
dans la nature, ceux qui survivent ne sont pas les plus forts, mais les plus adaptables : la réactivité dépend de la capacité des acteurs locaux à s’adapter. Centraliser la prise de décision ralentit l’adaptabilité et peut être fatal en situation critique.
Inexact !
Réponse C.
dans la nature, ceux qui survivent ne sont pas les plus forts, mais les plus adaptables : la réactivité dépend de la capacité des acteurs locaux à s’adapter. Centraliser la prise de décision ralentit l’adaptabilité et peut être fatal en situation critique.
dans la nature, ceux qui survivent ne sont pas les plus forts, mais les plus adaptables : la réactivité dépend de la capacité des acteurs locaux à s’adapter. Centraliser la prise de décision ralentit l’adaptabilité et peut être fatal en situation critique.
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