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Conversez-vous (vraiment) avec vos équipes ?

On s'échauffe
On s’étire
Discutez
Prenez soin
Apprenez
Décortiquez
Conclusion

Converser, pourquoi faire ?

Rassembler vos équipes autours de vos enjeux est un facteur clé d’agilité, d’engagement et de performance. Encore faut-il savoir les impliquer par un mode conversationnel ouvert et sans fard, en évitant les erreurs classiques qui tuent la conversation dans l’œuf. 

Qu’avez-vous à y gagner ? 

Vous avez tout autant à gagner que vos équipes à abandonner une certaine marge de contrôle pour les besoins d’une communication ouverte.  

Une bonne partie des inévitables conversations et bavardages ont lieu non seulement sans que vous en ayez la maîtrise, mais aussi sans en avoir conscience.

Quand vous intégrez à votre fonctionnement la participation de tous les acteurs, vous augmentez vos chances d’être bien informé, comme la possibilité de participer et guider (ce qui ne veut pas dire contrôler) les échanges.  

Les 3 grands avantages de la conversation : 

#Complexité : pousser à une expression en toute confiance et instaurer une communication plate favorise l’apprentissage et un meilleur alignement entre l’exécution et la prise de décisions stratégiques. Votre équipe et vous-même en serez mieux armés face à la complexité de votre environnement. 

#Agilité : « Le but est d’apprendre plus vite, de savoir décider, agir et réagir plus rapidement », affirme Jack Mollen, Ex VP HR de EMC (aujourd’hui Dell EMC), l’un des leaders mondiaux du stockage des données. Et ce pour accélérer l’innovation, les délais de mise sur le marché, et le temps de réponse aux demandes des clients. 

#Engagement : le fait de pouvoir s’exprimer librement et de se sentir écouté renforce l’engagement. Respectés et reconnus, vos collaborateurs s’impliqueront davantage. 

Si vous avez 3 minutes de plus

Dites bonjour ! 

Revoir la fabuleuse et mythique séquence du film « Itinéraire d’un enfant gâté » (Claude Lelouch 1988) avec JP Belmondo et Richard Anconina 

D’après  
Talk, Inc. de Boris Groysberg et Michael Slind (Harvard Business Review Press, 2012).

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