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En cas de coup dur, rationalité et maîtrise de soi sont les deux ingrédients pour faire face au stress

Vrai
Faux
Exact !
« L’esprit réagit différemment lorsqu’il se trouve dans un état optimal. Il est alors plus résistant face au stress et se remet plus vite d’un traumatisme. Il a des pensées constructives et voit le monde de manière rationnelle, ce qui peut aider à mieux résister à la pression. » En cas de stress, au contraire, le « cerveau émotionnel » prend le pas sur le « cerveau rationnel ». Cela nuit à la motivation et à la capacité à éprouver du plaisir. Comment alors renforcer votre cerveau rationnel pour reprendre le contrôle de vos émotions ? L’auteur propose différentes stratégies, allant de solutions à court terme comme les jeux vidéo impliquant le cerveau rationnel face à des émotions négatives, aux solutions de long terme, telles que la méditation pleine conscience, le yoga et la réévaluation cognitive qui aident à développer une meilleure maîtrise de soi.



D’après “Stress Proof: The Scientific Solution to Protect Your Brain and Body – and Be More Resilient Every Day” de Mithu Storoni (TarcherPerigee, 2017)
Inexact !
« L’esprit réagit différemment lorsqu’il se trouve dans un état optimal. Il est alors plus résistant face au stress et se remet plus vite d’un traumatisme. Il a des pensées constructives et voit le monde de manière rationnelle, ce qui peut aider à mieux résister à la pression. » En cas de stress, au contraire, le « cerveau émotionnel » prend le pas sur le « cerveau rationnel ». Cela nuit à la motivation et à la capacité à éprouver du plaisir. Comment alors renforcer votre cerveau rationnel pour reprendre le contrôle de vos émotions ? L’auteur propose différentes stratégies, allant de solutions à court terme comme les jeux vidéo impliquant le cerveau rationnel face à des émotions négatives, aux solutions de long terme, telles que la méditation pleine conscience, le yoga et la réévaluation cognitive qui aident à développer une meilleure maîtrise de soi.



D’après “Stress Proof: The Scientific Solution to Protect Your Brain and Body – and Be More Resilient Every Day” de Mithu Storoni (TarcherPerigee, 2017)

L’optimiste a bien de la chance

Vrai
Faux
Exact !
L’optimisme n’est pas une question de chance, c’est une question de pratique. L’optimisme est une qualité fondamentale qui peut se développer en pratiquant la pleine conscience et l’instant présent. Pour être optimiste, restez avant tout être réaliste. C’est en apprenant du passé que vous préparez sereinement l’avenir. L’apprentissage d’expériences positives permet de renforcer son capital optimiste. On ne nait pas optimiste, on le devient. Le pessimisme répond à la même règle. L’éducation et l’environnement déterminent notre capacité à percevoir le monde. Le manque de compétences ou la mauvaise appréciation d’une situation nuisent à l’optimisme. L’optimisme se cultive au quotidien par une pensée positive, une capacité à relativiser et la volonté de bien s’entourer.



Source : Gaelle Pellerin, coach et consultante, 2020
Inexact !
L’optimisme n’est pas une question de chance, c’est une question de pratique. L’optimisme est une qualité fondamentale qui peut se développer en pratiquant la pleine conscience et l’instant présent. Pour être optimiste, restez avant tout être réaliste. C’est en apprenant du passé que vous préparez sereinement l’avenir. L’apprentissage d’expériences positives permet de renforcer son capital optimiste. On ne nait pas optimiste, on le devient. Le pessimisme répond à la même règle. L’éducation et l’environnement déterminent notre capacité à percevoir le monde. Le manque de compétences ou la mauvaise appréciation d’une situation nuisent à l’optimisme. L’optimisme se cultive au quotidien par une pensée positive, une capacité à relativiser et la volonté de bien s’entourer.



Source : Gaelle Pellerin, coach et consultante, 2020

Pour mieux lutter contre l’angoisse, cultivez les petits plaisirs du quotidien

Vrai
Faux
Exact !
Dans votre cerveau, le circuit de la récompense joue un rôle essentiel pour déterminer votre niveau de motivation. Le stress chronique peut toutefois avoir des conséquences désastreuses sur la motivation, entraînant avec lui dépression et incapacité à éprouver du plaisir. Pour vous protéger contre ces effets dévastateurs du stress, Mithu Storoni vous encourage à cultiver au maximum les petits plaisirs du quotidien. Quand vous êtes stressé, vous avez sans doute tendance à limiter les activités « non essentielles », notamment celles que vous faites uniquement par plaisir. ; les émotions négatives liées au stress chronique affluent alors et vous vous retrouvez bloqué dans une spirale de négativité. « Le plaisir doit être considéré avec la même importance que le fait d’aller travailler ou de prendre une douche, et vous devez donc lui consacrer du temps au quotidien », explique Mithu Storoni qui conseille de mettre au point une routine avec des étapes claires prenant la forme d’une check-list, même si cela peut paraître simpliste ou inutile. Le simple fait d’accomplir des tâches successives déclenchera le circuit de la récompense car l’esprit aime terminer quelque chose. Et n’hésitez pas à chercher du plaisir dans l’art, le sport ou tout autre divertissement.



D’après “Stress Proof: The Scientific Solution to Protect Your Brain and Body – and Be More Resilient Every Day” de Mithu Storoni (TarcherPerigee, 2017)
Inexact !
Dans votre cerveau, le circuit de la récompense joue un rôle essentiel pour déterminer votre niveau de motivation. Le stress chronique peut toutefois avoir des conséquences désastreuses sur la motivation, entraînant avec lui dépression et incapacité à éprouver du plaisir. Pour vous protéger contre ces effets dévastateurs du stress, Mithu Storoni vous encourage à cultiver au maximum les petits plaisirs du quotidien. Quand vous êtes stressé, vous avez sans doute tendance à limiter les activités « non essentielles », notamment celles que vous faites uniquement par plaisir. ; les émotions négatives liées au stress chronique affluent alors et vous vous retrouvez bloqué dans une spirale de négativité. « Le plaisir doit être considéré avec la même importance que le fait d’aller travailler ou de prendre une douche, et vous devez donc lui consacrer du temps au quotidien », explique Mithu Storoni qui conseille de mettre au point une routine avec des étapes claires prenant la forme d’une check-list, même si cela peut paraître simpliste ou inutile. Le simple fait d’accomplir des tâches successives déclenchera le circuit de la récompense car l’esprit aime terminer quelque chose. Et n’hésitez pas à chercher du plaisir dans l’art, le sport ou tout autre divertissement.



D’après “Stress Proof: The Scientific Solution to Protect Your Brain and Body – and Be More Resilient Every Day” de Mithu Storoni (TarcherPerigee, 2017)

L’angoisse est contagieuse, mais la partager en diminue les effets nocifs

Vrai
Faux
Exact !
Savoir garder votre calme en toute situation est un élément clé pour réduire le stress de vos équipes, notamment car il est contagieux. Donc le partager sans le décrypter n’en amoindrit absolument pas les effets. Vous devez être un modèle de résilience pour vos équipes !

Alors en premier lieu, piégez votre cerveau : lorsque vous êtes submergé par des émotions négatives, la pire chose à faire est d’essayer de vous forcer à vous détendre. Au lieu de cela, détournez votre attention en la focalisant sur quelque chose de rationnel et qui demande de la concentration. Par exemple, jouez à un jeu sur votre smartphone ou votre ordinateur qui saura vous captiver. N’importe quel jeu qui challenge votre mémoire, votre habileté visio-spatiale ou votre dextérité devrait capter votre attention de manière efficace. Selon le Dr Storoni, Tetris serait un excellent moyen de chasser le stress !!



D’après “Stress Proof: The Scientific Solution to Protect Your Brain and Body – and Be More Resilient Every Day” de Mithu Storoni (TarcherPerigee, 2017)
Inexact !
Savoir garder votre calme en toute situation est un élément clé pour réduire le stress de vos équipes, notamment car il est contagieux. Donc le partager sans le décrypter n’en amoindrit absolument pas les effets. Vous devez être un modèle de résilience pour vos équipes !

Alors en premier lieu, piégez votre cerveau : lorsque vous êtes submergé par des émotions négatives, la pire chose à faire est d’essayer de vous forcer à vous détendre. Au lieu de cela, détournez votre attention en la focalisant sur quelque chose de rationnel et qui demande de la concentration. Par exemple, jouez à un jeu sur votre smartphone ou votre ordinateur qui saura vous captiver. N’importe quel jeu qui challenge votre mémoire, votre habileté visio-spatiale ou votre dextérité devrait capter votre attention de manière efficace. Selon le Dr Storoni, Tetris serait un excellent moyen de chasser le stress !!



D’après “Stress Proof: The Scientific Solution to Protect Your Brain and Body – and Be More Resilient Every Day” de Mithu Storoni (TarcherPerigee, 2017)

En cas de coup dur, mieux vaut être capable d’agir très vite

Vrai
Faux
Exact !
Pourquoi prend-on des décisions plus rapides quand le climat est anxiogène ? Tout simplement pour évacuer le stress. Car l’inconfort lié à la difficulté à vivre avec la pression est perçu comme une agression pour le corps. Or dans ce type de situation, il est justement nécessaire de ralentir le processus décisionnel. Le stress ne doit en aucun cas rimer avec l’urgence d’agir. L’urgence d’agir n’est pas liée à la situation, mais à ce que vous impose, malgré vous, votre cerveau. Donc un bon conseil : acceptez le stress et prenez le temps de la décision.



Source : Gaelle Pellerin, coach et consultante, 2020
Inexact !
Pourquoi prend-on des décisions plus rapides quand le climat est anxiogène ? Tout simplement pour évacuer le stress. Car l’inconfort lié à la difficulté à vivre avec la pression est perçu comme une agression pour le corps. Or dans ce type de situation, il est justement nécessaire de ralentir le processus décisionnel. Le stress ne doit en aucun cas rimer avec l’urgence d’agir. L’urgence d’agir n’est pas liée à la situation, mais à ce que vous impose, malgré vous, votre cerveau. Donc un bon conseil : acceptez le stress et prenez le temps de la décision.



Source : Gaelle Pellerin, coach et consultante, 2020

Oser demander de l’aide est une attitude indispensable à votre résilience

Vrai
Faux
Exact !
Bien sûr ! Il est fini le temps du manager omniscient. Vouloir tout assumer est écrasant et contre-productif pour vous comme pour votre équipe. Pourquoi aujourd’hui seriez-vous reconnu comme bon manager si vous demandez de l’aide ? Pour plusieurs raisons :

Vous démontrez une volonté de progresser. Loin d’être un motif de honte, ne pas se sentir qualifié pour tout résoudre seul est une excellente nouvelle. Cela signifie que vous avez osé sortir de votre zone de confort.

Vous démontrez une gestion pertinente de votre ressource la plus précieuse : votre temps. A l’ère de la donnée omniprésente, nul n’est en capacité de traiter seul les flux quotidiens d’informations. Vous avez besoin d’aide pour la trier et l’analyser. Votre rôle est de prendre de la hauteur pour vous concentrer sur ses aspects les plus stratégiques.

Vous savez favoriser la diversité de points de vue. Selon l’enquête The Great Work Study, menée en 2015 par le O.C. Tanner Institute, 72 % des collaborateurs récompensés par leurs entreprises pour leur travail admettent avoir demandé conseil ou de l’aide à des interlocuteurs en dehors de leur premier cercle. Ce soutien leur a donné des perspectives neuves pour résoudre leurs problèmes – qu’ils n’auraient pas imaginées seuls – et a abouti à des solutions plus créatives et à de meilleurs résultats.

Vous valorisez vos équipes en leur demandant leur aide. Ce faisant, vous leur montrez que vous avez confiance en leurs idées et en leur compétences. Solliciter leur assistance est une forme de reconnaissance forte.



D’après “ Reinforcements – How to get people to help you” de Heidi Grant (Harvard Business Review, 2018)
Inexact !
Bien sûr ! Il est fini le temps du manager omniscient. Vouloir tout assumer est écrasant et contre-productif pour vous comme pour votre équipe. Pourquoi aujourd’hui seriez-vous reconnu comme bon manager si vous demandez de l’aide ? Pour plusieurs raisons :

Vous démontrez une volonté de progresser. Loin d’être un motif de honte, ne pas se sentir qualifié pour tout résoudre seul est une excellente nouvelle. Cela signifie que vous avez osé sortir de votre zone de confort.

Vous démontrez une gestion pertinente de votre ressource la plus précieuse : votre temps. A l’ère de la donnée omniprésente, nul n’est en capacité de traiter seul les flux quotidiens d’informations. Vous avez besoin d’aide pour la trier et l’analyser. Votre rôle est de prendre de la hauteur pour vous concentrer sur ses aspects les plus stratégiques.

Vous savez favoriser la diversité de points de vue. Selon l’enquête The Great Work Study, menée en 2015 par le O.C. Tanner Institute, 72 % des collaborateurs récompensés par leurs entreprises pour leur travail admettent avoir demandé conseil ou de l’aide à des interlocuteurs en dehors de leur premier cercle. Ce soutien leur a donné des perspectives neuves pour résoudre leurs problèmes – qu’ils n’auraient pas imaginées seuls – et a abouti à des solutions plus créatives et à de meilleurs résultats.

Vous valorisez vos équipes en leur demandant leur aide. Ce faisant, vous leur montrez que vous avez confiance en leurs idées et en leur compétences. Solliciter leur assistance est une forme de reconnaissance forte.



D’après “ Reinforcements – How to get people to help you” de Heidi Grant (Harvard Business Review, 2018)

La résilience ne s’apprend pas, c’est un capital fixe

Vrai
Faux
Exact !
La résilience n’est pas un capital fixe, c’est un muscle que chacun peut travailler et solliciter en fonction de ses besoins. Et pour développer ce muscle de la résilience, le psychologue Martin Seligman a développé une méthode pour lutter contre les écueils tellement classiques tels que :

• Personnalisation : croyance d’être en faute.

• Perméabilité : croyance que votre vie entière est affectée par votre drame.

• Permanence : l’idée selon laquelle la peine est là pour durer.

Pour développer votre résilience, acceptez ainsi l’idée que vos difficultés ne sont pas liées à votre personne, qu’elles sont probablement limitées à un domaine précis de votre vie et ne sont pas éternelles. Ce qui vous permettra d’avoir un regard plus objectif sur le problème.

Dans la même veine, pratiquer l’auto-compassion est facteur de résilience qui vous amène à accepter votre responsabilité dans un problème, sans pour autant en porter tout le poids et vous laisser envahir par un sentiment d’inutilité et d’impuissance. « L’auto-compassion pousse à accepter l’imperfection comme humaine ; ceux qui adoptent ce comportement se relèvent plus rapidement des coups durs.



D’après Option B, Facing adversity, building resilience, and finding joy de Sheryl Sandberg et Adam Grant (Knopf, avril 2017).
Inexact !
La résilience n’est pas un capital fixe, c’est un muscle que chacun peut travailler et solliciter en fonction de ses besoins. Et pour développer ce muscle de la résilience, le psychologue Martin Seligman a développé une méthode pour lutter contre les écueils tellement classiques tels que :

• Personnalisation : croyance d’être en faute.

• Perméabilité : croyance que votre vie entière est affectée par votre drame.

• Permanence : l’idée selon laquelle la peine est là pour durer.

Pour développer votre résilience, acceptez ainsi l’idée que vos difficultés ne sont pas liées à votre personne, qu’elles sont probablement limitées à un domaine précis de votre vie et ne sont pas éternelles. Ce qui vous permettra d’avoir un regard plus objectif sur le problème.

Dans la même veine, pratiquer l’auto-compassion est facteur de résilience qui vous amène à accepter votre responsabilité dans un problème, sans pour autant en porter tout le poids et vous laisser envahir par un sentiment d’inutilité et d’impuissance. « L’auto-compassion pousse à accepter l’imperfection comme humaine ; ceux qui adoptent ce comportement se relèvent plus rapidement des coups durs.



D’après Option B, Facing adversity, building resilience, and finding joy de Sheryl Sandberg et Adam Grant (Knopf, avril 2017).

Il y a toujours un « avant » et un « après » une grosse tuile

Vrai
Faux
Exact !
Si certains ont du mal à faire face aux coups durs, perdant en confiance et peinant à reprendre pied, d’autres font preuve de résilience, rebondissent rapidement, affichant la même personnalité qu’avant.

Pour Sheryl Sandberg et Adam Grant, il existe une troisième voie : se relever investi d’une force inédite. Car les moments difficiles vous apprennent généralement beaucoup, et vite, la majorité des témoins affirmant avoir connu au moins un changement positif après avoir enduré une expérience traumatisante. Selon les deux auteurs, cette « croissance posttraumatique » peut prendre cinq formes :

1. Découvrir une force insoupçonnée : face à l’épreuve, vous pourrez vous découvrir une force que vous n’imaginiez pas avoir.

2. Apprendre à apprécier les choses : « Il est assez ironique de vivre une tragédie et d’en ressortir avec un sentiment nouveau de reconnaissance », note Sheryl Sandberg. L’épreuve peut vous apprendre à ne plus considérer comme acquis les aspects positifs de votre vie et de votre travail.

3. Nouer des relations plus profondes : l’épreuve peut vous inciter à renforcer certains liens au sein de votre réseau.

4. Redonner du sens à votre vie, votre travail : le drame peut vous aider à trouver une nouvelle finalité à ce que vous faites.

5. Saisir de nouvelles opportunités : lorsque rien ne se déroule comme vous l’aviez prévu, vous pouvez emprunter des directions que vous n’auriez absolument pas envisagées dans d’autres circonstances.



D’après Option B, Facing adversity, building resilience, and finding joy de Sheryl Sandberg et Adam Grant (Knopf, avril 2017).

Inexact !
Si certains ont du mal à faire face aux coups durs, perdant en confiance et peinant à reprendre pied, d’autres font preuve de résilience, rebondissent rapidement, affichant la même personnalité qu’avant.

Pour Sheryl Sandberg et Adam Grant, il existe une troisième voie : se relever investi d’une force inédite. Car les moments difficiles vous apprennent généralement beaucoup, et vite, la majorité des témoins affirmant avoir connu au moins un changement positif après avoir enduré une expérience traumatisante. Selon les deux auteurs, cette « croissance posttraumatique » peut prendre cinq formes :

1. Découvrir une force insoupçonnée : face à l’épreuve, vous pourrez vous découvrir une force que vous n’imaginiez pas avoir.

2. Apprendre à apprécier les choses : « Il est assez ironique de vivre une tragédie et d’en ressortir avec un sentiment nouveau de reconnaissance », note Sheryl Sandberg. L’épreuve peut vous apprendre à ne plus considérer comme acquis les aspects positifs de votre vie et de votre travail.

3. Nouer des relations plus profondes : l’épreuve peut vous inciter à renforcer certains liens au sein de votre réseau.

4. Redonner du sens à votre vie, votre travail : le drame peut vous aider à trouver une nouvelle finalité à ce que vous faites.

5. Saisir de nouvelles opportunités : lorsque rien ne se déroule comme vous l’aviez prévu, vous pouvez emprunter des directions que vous n’auriez absolument pas envisagées dans d’autres circonstances.



D’après Option B, Facing adversity, building resilience, and finding joy de Sheryl Sandberg et Adam Grant (Knopf, avril 2017).

Vos résultats

/ 8

De 0 à 2 : Allo …… ! 

Aie, il semblerait que vos émotions ou votre naturelle résistance au changement prennent le pas sur votre rationalité en cas de coup dur. Posez-vous la question : personne n’aime avoir une grosse tuile, néanmoins personne n’en est non plus à l’abri. Alors apprenez à vous préparer à encaisser, car la résilience est un muscle qui ne demande qu’à être travaillé. Pour votre bien et celui de votre équipe. 

 

De 3 à 5 : Vous n’auriez pas un don, vous ? 

Vous avez montré votre capacité à encaisser un coup dur, mais n’auriez-vous pas tendance à la gérer de façon artisanale ? Or la résilience s’apprend, elle est une démarche structurée qui commence par reprendre le contrôle de votre cerveau, pour retrouver votre sang-froid. Puis à dérouler un ensemble d’étapes dont le but est d’embarquer vos équipes vers des lendemains meilleurs.  

 

De 6 à 8 : wouah ! 

Salut le Génie ! Vous maîtrisez l’art de l’encaissement du coup dur, vous devez probablement vous entrainer avec des outils et dispositifs de votre choix (art, sport, respiration, méditation, etc.), à prendre du recul et ne pas vous laisser submerger par des émotions négatives. Par votre sang-froid, votre écoute et votre confiance, vous êtes un modèle de résilience pour vos équipes … et ça même sans les voir ! Bravo !